Si
jamais quelqu’un vous racontait des histoires de cervidés aux bois
gigantesques et imposants, en s’inspirant de l’orignal d’Alaska ou du
caribou d’Ungava dites-lui tout simplement: “c’est de la p’tite bière,
en comparaison avec ce grand cerf que je connais dont la dimension des
bois est de…plus de deux mètres!” Voici le megaloceros ou megaceros,
autrefois appelé le cerf des tourbières d’Irlande.
Vous n’avez sans doute pas l’intention d’en abattre un de cette
taille pour conserver son panache, vous series sans doute obligé de
déménager! Même si vous empruntiez les chemins de l’Irlande dans le but
de rapporter un tel trophée, vos chances de succès seraient très
limitées. Pour vous consoler vous pourriez examiner ce spécimen à
loisir au “Musée de la Société Royale de Dublin”, où ce grand cerf
figure au nombre des exhibits.
On a découvert cet animal gigantesque enfoui dans une tourbière
d’Irlande où il avait été protégé du temps grâce à l’isolation de cette
couche terrestre.
Fait à souligner, on retrouve encore de ces immenses bois, décorant
les dessus des cheminées de châteaux historiques. On désignait
vulgairement cette décoration de chasse comme “cornes du vieux daim”.
Je vous présente une photo de ce que pouvait avoir l’air cette
imposante bête, une petite recherche sur megaloceros sur Google vous
donnera une panoplie d’autres exemples.
* * *
-Pour enlever l’hameçon de la gueule du brochet, sans risque de vous
faire blesser, pressez fortement les yeux du poisson du pouce et de
l’index. Ceci a pour effet de le paralyser complètement.
-Si les dorés vous font la vie dure, essayez de les pêcher avec des
crevettes plombées. Rapportées de Floride, je les utilisais au Québec
avec grand succès il y a plusieurs années. Les marchands en ayant pris
connaissance ont vite fait de se les procurer. Un bout de vers les rend
encore plus efficaces.
-Nous basant sur les mathématiques, un canard qui file à 55 milles à
l’heure (ce qui est normal) doit être devancé d’environ 4,5 pieds pour
qu’il croise les plombs à 45 pieds du chasseur.
-Habituellement, deux ans après qu’un feu de forêt a dévasté une
région, les orignaux abondent. Ces énormes cervidés franchissent de
grandes distances pour venir brouter les tendres pousses qui s’y
trouvent.
Le texte est tiré de l’Almanach chasse et pêche de Jean Pagé 1979, publié à Librairie Beauchemin.
jamais quelqu’un vous racontait des histoires de cervidés aux bois
gigantesques et imposants, en s’inspirant de l’orignal d’Alaska ou du
caribou d’Ungava dites-lui tout simplement: “c’est de la p’tite bière,
en comparaison avec ce grand cerf que je connais dont la dimension des
bois est de…plus de deux mètres!” Voici le megaloceros ou megaceros,
autrefois appelé le cerf des tourbières d’Irlande.
Vous n’avez sans doute pas l’intention d’en abattre un de cette
taille pour conserver son panache, vous series sans doute obligé de
déménager! Même si vous empruntiez les chemins de l’Irlande dans le but
de rapporter un tel trophée, vos chances de succès seraient très
limitées. Pour vous consoler vous pourriez examiner ce spécimen à
loisir au “Musée de la Société Royale de Dublin”, où ce grand cerf
figure au nombre des exhibits.
On a découvert cet animal gigantesque enfoui dans une tourbière
d’Irlande où il avait été protégé du temps grâce à l’isolation de cette
couche terrestre.
Fait à souligner, on retrouve encore de ces immenses bois, décorant
les dessus des cheminées de châteaux historiques. On désignait
vulgairement cette décoration de chasse comme “cornes du vieux daim”.
Je vous présente une photo de ce que pouvait avoir l’air cette
imposante bête, une petite recherche sur megaloceros sur Google vous
donnera une panoplie d’autres exemples.
* * *
-Pour enlever l’hameçon de la gueule du brochet, sans risque de vous
faire blesser, pressez fortement les yeux du poisson du pouce et de
l’index. Ceci a pour effet de le paralyser complètement.
-Si les dorés vous font la vie dure, essayez de les pêcher avec des
crevettes plombées. Rapportées de Floride, je les utilisais au Québec
avec grand succès il y a plusieurs années. Les marchands en ayant pris
connaissance ont vite fait de se les procurer. Un bout de vers les rend
encore plus efficaces.
-Nous basant sur les mathématiques, un canard qui file à 55 milles à
l’heure (ce qui est normal) doit être devancé d’environ 4,5 pieds pour
qu’il croise les plombs à 45 pieds du chasseur.
-Habituellement, deux ans après qu’un feu de forêt a dévasté une
région, les orignaux abondent. Ces énormes cervidés franchissent de
grandes distances pour venir brouter les tendres pousses qui s’y
trouvent.
Le texte est tiré de l’Almanach chasse et pêche de Jean Pagé 1979, publié à Librairie Beauchemin.