Julien Cabana....Si quelqu’un m’avait dit qu’il y avait dans le Bas-Saint-Laurent une destination de pêche où il est possible de pêcher de la truite indigène de plus d’un kilo en quantité, je ne l’aurais pas cru. Pourtant, c’est ce que peut vous offrir la réserve Duchénier.
Située à quelques kilomètres au sud du Bic, tout près du village de Saint-Valérien, cette réserve de 273 kilomètres carrés offre 139 lacs et 570 kilomètres de cours d’eau accessibles pour la pêche. « Tout ce que nous voulons, c’est offrir le maximum aux amateurs de pêche qui fréquentent notre territoire et pour ce faire, nous avons une gestion serrée qui porte fruit, souligne le président du Territoire populaire Chénier, Mario Ross, qui gère la réserve depuis plus de 30 ans. Au fil des ans, nous avons su conserver cette qualité de pêche et même l’améliorer avec des aménagements fauniques qui, eux aussi, donnent de bons résultats. Ici, les amateurs de pêche ont la chance de pouvoir se mesurer à des spécimens de qualité, sans avoir à se déplacer sur de longues distances ou encore à pêcher durant de longues heures. »
Effectivement, si des gens mettent en doute la parole de Ross, il faut avouer que nous en avons eu la preuve en tentant notre chance dans les eaux du lac Touradi. Rapidement, plusieurs membres du groupe ont pu capturer des truites dépassant le kilo, non pas une mais bien plusieurs. Le secret de ces captures en quantité : la cuillère Camp argent et or avec le centre bleu et la Toronto Wobbler de 2 1/2 pouces avec une bande de couleur bleue. La truite se trouvait près de la surface et attaquait ces deux leurres de façon vorace. Elle était vraiment en période de chasse, surtout qu’elle pouvait se nourrir des nombreux insectes qui ont fait leur apparition. N’allez surtout pas croire que c’était une pêche de faveur pour le journaliste. On délivre huit droits de pêche pour ce lac, ce qui représente une possibilité de 24 pêcheurs à la fois. Ils y étaient puisque c’était l’ouverture et le succès était au rendez-vous pour tout le monde.
Pour avoir accès
À l’instar des autres réserves fauniques, l’accès à des séjours se fait de deux façons. Il y a un tirage au sort pour une certaine quantité de séjours et, par la suite, les ventes des espaces disponibles se font directement.
« À tort, les gens croient qu’une fois que le tirage est fait, il ne reste plus de places intéressantes, mais ce n’est pas le cas, précise le directeur général Alain Langlais. Présentement, il y a toujours de bonnes places de disponibles d’ici à la fin de la saison, un peu partout sur le territoire. »
Cette réserve compte une trentaine de chalets pouvant accueillir de deux à huit personnes. Ils sont dispersés un peu partout sur le territoire. Ils donnent tous accès à un territoire de pêche. Vous avez la possibilité de pêcher en lacs et en rivières, soit durant un séjour ou encore à la journée. Une des caractéristiques importantes de ce territoire unique, c’est sa gestion par le milieu.
« Nous fonctionnons avec un conseil d’administration de dix personnes représentant les municipalités environnantes de même que des gens de l’industrie forestière et autres, note Langlais. Comme nous fonctionnons de façon indépendante, nous pouvons prendre des décisions rapides et nous ajuster plus facilement aux demandes des amateurs de pêche et de chasse. Cela nous a permis, au fil des ans, d’arriver à offrir des produits intéressants, faits sur mesure pour les amateurs. » ....
Située à quelques kilomètres au sud du Bic, tout près du village de Saint-Valérien, cette réserve de 273 kilomètres carrés offre 139 lacs et 570 kilomètres de cours d’eau accessibles pour la pêche. « Tout ce que nous voulons, c’est offrir le maximum aux amateurs de pêche qui fréquentent notre territoire et pour ce faire, nous avons une gestion serrée qui porte fruit, souligne le président du Territoire populaire Chénier, Mario Ross, qui gère la réserve depuis plus de 30 ans. Au fil des ans, nous avons su conserver cette qualité de pêche et même l’améliorer avec des aménagements fauniques qui, eux aussi, donnent de bons résultats. Ici, les amateurs de pêche ont la chance de pouvoir se mesurer à des spécimens de qualité, sans avoir à se déplacer sur de longues distances ou encore à pêcher durant de longues heures. »
Effectivement, si des gens mettent en doute la parole de Ross, il faut avouer que nous en avons eu la preuve en tentant notre chance dans les eaux du lac Touradi. Rapidement, plusieurs membres du groupe ont pu capturer des truites dépassant le kilo, non pas une mais bien plusieurs. Le secret de ces captures en quantité : la cuillère Camp argent et or avec le centre bleu et la Toronto Wobbler de 2 1/2 pouces avec une bande de couleur bleue. La truite se trouvait près de la surface et attaquait ces deux leurres de façon vorace. Elle était vraiment en période de chasse, surtout qu’elle pouvait se nourrir des nombreux insectes qui ont fait leur apparition. N’allez surtout pas croire que c’était une pêche de faveur pour le journaliste. On délivre huit droits de pêche pour ce lac, ce qui représente une possibilité de 24 pêcheurs à la fois. Ils y étaient puisque c’était l’ouverture et le succès était au rendez-vous pour tout le monde.
Pour avoir accès
À l’instar des autres réserves fauniques, l’accès à des séjours se fait de deux façons. Il y a un tirage au sort pour une certaine quantité de séjours et, par la suite, les ventes des espaces disponibles se font directement.
« À tort, les gens croient qu’une fois que le tirage est fait, il ne reste plus de places intéressantes, mais ce n’est pas le cas, précise le directeur général Alain Langlais. Présentement, il y a toujours de bonnes places de disponibles d’ici à la fin de la saison, un peu partout sur le territoire. »
Cette réserve compte une trentaine de chalets pouvant accueillir de deux à huit personnes. Ils sont dispersés un peu partout sur le territoire. Ils donnent tous accès à un territoire de pêche. Vous avez la possibilité de pêcher en lacs et en rivières, soit durant un séjour ou encore à la journée. Une des caractéristiques importantes de ce territoire unique, c’est sa gestion par le milieu.
« Nous fonctionnons avec un conseil d’administration de dix personnes représentant les municipalités environnantes de même que des gens de l’industrie forestière et autres, note Langlais. Comme nous fonctionnons de façon indépendante, nous pouvons prendre des décisions rapides et nous ajuster plus facilement aux demandes des amateurs de pêche et de chasse. Cela nous a permis, au fil des ans, d’arriver à offrir des produits intéressants, faits sur mesure pour les amateurs. » ....