Chasseurs et Pêcheurs du Québec

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    Piégé par un agent de la Faune

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    Piégé par un agent de la Faune Empty Piégé par un agent de la Faune

    Message  Admin Lun 9 Avr 2007 - 10:35

    Braconnage / Mésaventure
    Piégé par un agent double
    Daniel Renaud
    Le Journal de Montréal
    09/04/2007 08h58

    Denis (nom fictif), un braconnier arrêté le mois dernier, s'est fait piéger par un agent double du Service de la protection de la faune. Ce dernierl'a filmé à plusieurs reprises en train de pêcher illégalement. Voici quelques exemples de braconniers pris en flagrant délit grâce à cette technique.

    Un braconnier a été complètement mystifié par un faux pêcheur qui avait gagné sa confiance.

    «C'est un crosseur!» Un braconnier appréhendé le mois dernier raconte, encore ébranlé, comment il a été complètement mystifié par un agent double qui avait rapidement gagné sa confiance.

    «Je n'ai jamais douté de lui. Il avait l'air ben correct», lance Denis, un nom fictif.

    Le braconnier fait partie de la quarantaine d'individus interpellés le mois dernier dans la région de Saint-Jean-sur-Richelieu. Il est soupçonné d'avoir, à plusieurs reprises, pêché plus de perchaudes que la limite permise.

    Denis a été filmé à son insu plusieurs fois alors qu'il pêchait sur le lac Champlain. Or, ce qu'il ignorait, c'est qu'à quelques reprises, il a pêché avec un homme qui était en réalité un agent double du Service de la protection de la faune.

    Preuves sur glace

    «Je l'ai connu quand il a loué ma terre pour chasser l'an dernier. Il a même tué un chevreuil dans ma cache», raconte Denis.

    Par la suite, les deux hommes ont commencé à se lier d'amitié, l'agent double lui donnant même des cadeaux.

    Un jour, l'ami éphémère a offert à Denis d'aller pêcher avec lui, où il a discrètement effectué le travail pour lequel il est payé.

    «Quand j'ai été arrêté, ils m'ont montré des films. Mon gars a été filmé. Je suis certain que c'est lui qui avait une caméra cachée», poursuit Denis.

    Un autre jour, deux hommes qui pêchaient près de Denis, paraissant joviaux et amusés, lui ont banalement posé des questions sur ses techniques.

    «Je coupe mes hameçons. Je leur ai montré. C'était des agents», croit Denis, qui ne soupçonnait rien sur le moment.

    Plus de service au numéro composé

    Selon Denis, le même agent double se serait lié d'amitié avec d'autres individus appréhendés en même temps que lui pour chasse illégale il y a environ quatre ans.

    Eux aussi ont été complètement mystifiés. Ils ont cependant refusé de nous parler.

    «Il m'avait demandé de lui faire une cache. Depuis l'opération, je l'appelle sur son téléphone mais il n'y a plus rien», dit le braconnier, avec dépit.

    «C'est plate à dire, mais il a très bien fait son travail», conclut sa femme.
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    Piégé par un agent de la Faune Empty Re: Piégé par un agent de la Faune

    Message  Admin Lun 9 Avr 2007 - 10:36

    Braconnage
    «Je voulais me faire une couple de piastres»
    Daniel Renaud
    Le Journal de Montréal
    09/04/2007 08h58

    Le braconnier soupçonné d'avoir dépassé les limites de pêche nie avoir participé à un réseau dont le chiffre d'affaires atteignait 2 000 $ par semaine, comme le croient les agents de la faune.

    «2 000 $, j'ai fait cela durant tout mon hiver», jure Denis. Il a raconté au Journal qu'il vendait ses poissons non apprêtés environ 1,50 $ la livre, ou 60 $ la chaudière. Un homme passait chez lui chercher les plus petits poissons qu'il livrait à une poissonnerie de Bécancourt qui, selon les agents, les revendait à son tour 12 $ la livre.

    Les plus gros poissons, Denis les vendait à un Mohawk de Kahnawake qui, semble-t-il, est propriétaire d'un restaurant.

    «Lui, ils sont pas allés le voir», déplore le présumé braconnier.

    Comme un criminel

    Denis admet qu'il savait qu'il dépassait les quotas. Il avoue également qu'il l'a également fait dans le passé.

    Il déplore cependant qu'on impose des limites, lui qui pêche notamment sur le lac Champlain.

    «C'est pas intelligent. À 1 000 pieds à côté de moi, ce sont les États-Unis et il n'y en a pas de limite», dit-il.

    Il nie également, comme le soupçonnent les agents de la faune, avoir pêché à longueur d'année.

    «J'ai commencé à pêcher après avoir été slacké au début de l'hiver. Je voulais me faire une couple de piastres», explique-t-il.

    Mais il pourrait plutôt devoir payer des amendes allant jusqu'à 1 800 $. Sans compter son équipement de pêche, d'une valeur d'environ 2 000 $, qui a été saisi.

    «Je suis traité comme un criminel.

    «C'est comme si j'avais vendu de la drogue!, déplore-t-il. Finalement, j'aurais dû en vendre, ça aurait peut-être été plus payant», conclut-il, avec ironie.

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    Message  Admin Lun 9 Avr 2007 - 10:38

    Braconnage
    Une révolution grâce à l'ADN
    Daniel Renaud
    Le Journal de Montréal
    08/04/2007 10h44


    Après avoir adapté ses techniques d'enquête sur le terrain, le Service de la protection de la faune s'apprête à prendre le virage technologique.

    Dès cet automne, les agents de la faune pourront comparer l'ADN des animaux abattus par des braconniers. Les analyses se feront à l'Université Laval à Québec.

    On veut ainsi prouver le lien entre des traces de sang ou les poils découverts sur les lieux d'un braconnage et la carcasse d'un animal abattu par des individus que l'on soupçonnerait d'être les braconniers.

    «Actuellement, on utilise les protéines pour faire les comparaisons. L'ADN est beaucoup plus précis, presque absolu», explique Abdallah Nardini, chimiste au laboratoire de la faune.

    «L'ADN sera une révolution. Il y a beaucoup de dossiers qu'on a dû laisser tomber dans le passé, faute de preuves», renchérit Benoit Fortin, directeur du Service de la protection de la faune en Mauricie.

    Cyberbraconnage

    Un peu comme la Sûreté du Québec, qui a une équipe d'enquêteurs qui surveillent exclusivement ce qui se passe sur Internet, le Service de la protection de la faune s'apprête lui aussi à affecter un certain nombre de ses agents au cyberbraconnage.

    Selon les agents de la faune, les braconniers utilisent de plus en plus Internet pour vendre leurs produits, sur eBay et d'autres sites d'annonces classées.

    Des pourvoiries douteuses offrent également des services sans permis.

    Sur la Côte-Nord, les agents ont intercepté récemment des Allemands qui s'étaient fait passer pour des photographes animaliers et qui étaient venus chercher des oeufs de faucon. Leur but était d'élever les bébés faucons et de les dresser à faire de la fauconnerie, c'est-à-dire chasser un animal sauvage dans son milieu naturel.

    drenaud@journalmtl.com
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    Piégé par un agent de la Faune Empty Re: Piégé par un agent de la Faune

    Message  Admin Lun 9 Avr 2007 - 10:40

    De «vrais James Bond»
    Daniel Renaud
    Le Journal de Montréal
    08/04/2007 10h44











    Filature avec des appareils ultra-sophistiqués, surveillances interminables sous camouflage, délateurs, agents source ; véritables «James Bond» de la forêt, les agents de la faune mènent contre les braconniers de plus en plus organisés une chasse à l'homme digne des meilleurs films d'espionnage.

    «Le plus beau gibier à chasser, c'est l'homme», lance Denis Rajotte. Directeur du Service de la protection de la faune de Montréal et de la Montérégie, M. Rajotte sait de quoi il parle.

    En seulement quatre mois, deux réseaux de braconniers ont été démantelés sur son territoire, dans les secteurs de Granby et de Saint-Jean-sur-Richelieu.

    Si l'on ajoute à cela deux autres démantèlements majeurs survenus dans les régions de la Côte-Nord et de la Gaspésie depuis l'automne, ce sont plus de 120 personnes qui ont été interpellées par les agents de la faune depuis novembre dernier.

    Des chasseurs et vendeurs souvent armés, de plus en plus audacieux et intrépides, parfois dangereux, motivés par l'argent et prêts à bien des choses pour conserver leur illégal et lucratif commerce.

    L'oeil de la forêt

    «Les braconniers sont de mieux en mieux organisés. Il faut que l'on soit devant la parade», explique Henri Guillemette, responsable des enquêtes, selon qui la lutte au braconnage lourd ou organisé représente 40 % des opérations.

    Au cours des dernières années, les agents de la faune ont donc dû développer de nouvelles approches semblables à celles utilisées par la police, telle la filature.

    Munis d'une caméra ou d'un appareil photo à lentille spéciale, les agents passent de longues heures, tapis dans la végétation, immobiles, camouflés sous les branchages, à épier leurs cibles.

    «Des fois, ils peuvent les observer durant des semaines», explique Benoit Fortin, directeur de la Mauricie.

    Ces images captées de jour comme de nuit sont primordiales dans la preuve qui sera présentée devant les tribunaux, tout comme les kilos de viande ou de poisson achetés par les agents qui se sont fait passer pour des clients.

    Des taupes conjugales

    Les agents misent également sur un important réseau d'informateurs mis sur pied grâce à la ligne S.O.S Braconnage.

    «Ce sont des citoyens, mais aussi des braconniers concurrents. Il arrive souvent que ce soient les ex-conjointes qui fassent des dénonciations, par vengeance», raconte M. Rajotte.

    Dans certains cas, les informations proviennent même d'un membre ou d'un proche du réseau, qui devient donc une taupe.

    «Il y a des gens qui n'aiment pas ce que le groupe fait et qui nous donnent tous les détails», renchérit M. Guillemette.

    «On fait attention de ne pas les brûler. C'est indispensable», ajoute-t-il.

    S.O.S. Braconnage : 1 800 463-2191




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    • Braconnage: sans pitié pour les animaux
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    Piégé par un agent de la Faune Empty Re: Piégé par un agent de la Faune

    Message  Admin Lun 9 Avr 2007 - 10:41

    Braconnage
    Un métier à hauts risques
    Daniel Renaud
    Le Journal de Montréal
    08/04/2007 10h44


    Avec des braconniers de plus en plus organisés, les agents de la faune pratiquent un métier à hauts risques, eux qui ont perdu huit des leurs dans des circonstances diverses depuis 1972.

    Les chasseurs illégaux sont évidemment presque toujours armés. Souvent, ils ont consommé de l'alcool, ce qui ne constitue pas nécessairement un bon mariage.

    «La dangerosité, c'est que ce sont des gens qui peuvent avoir un dossier criminel», explique Denis Rajotte, directeur du Service de la protection de la faune dans la région de Montréal-Montérégie.

    «Ils trempent dans toutes sortes de choses. Quand ils font un commerce, il y a de fortes chances qu'ils en fassent un autre», ajoute le directeur.

    Marijuana et tabac

    Il est déjà arrivé que des enquêtes mènent les agents dans une plantation de marijuana. Ces cultures illégales, on le sait, peuvent être quelquefois gardées par des individus armés.

    Même si les agents de la faune sont équipés d'un pistolet Glock 9 millimètres identique à celui des policiers de la Sûreté du Québec, ils ne peuvent intervenir.

    «Il y a une directive. Ils doivent se retirer et prévenir la SQ», explique le directeur général par intérim du Service de la protection de la faune au Québec, Guy Nadeau.

    Durant leurs enquêtes, il est déjà arrivé également que des agents aient découvert des caches de cigarettes.

    Traquenards

    Amenés régulièrement à patrouiller les forêts, les agents peuvent être victimes à tout moment des pièges pour animaux dressés par les braconniers.

    Parmi ces pièges, on retrouve notamment des «traquenards», c'est-à-dire une carabine fixée à un arbre qui se décharge lorsqu'un animal se prend dans un fil de laiton relié à la gâchette. Des traquenards ont également déjà été découverts sur des plantations de cannabis.

    L'agent Gérard Martineau est arrivé face à face avec deux fusils de calibre 12, chargés à la chevrotine, alors qu'il était sur la piste d'un braconnier sur un sentier d'orignal, dans le secteur de Forestville, en octobre 1991.

    «Un gars qui passait là la nuit et qui rentrait là-dedans, il était mort. Il aurait reçu un coup de chevrotine à la hauteur de la ceinture», se souvient-il, cette image encore bien présente dans sa tête.

    En 1995, les agents de la faune du secteur de Baie-Comeau, avaient aussi découvert trois traquenards sur trois sentiers d'orignaux différents, confectionnés avec deux fusils de calibre 12 et une carabine de calibre 30-30, des armes puissantes.


    MORTS EN DEVOIR

    10 septembre 1972

    Les agents Médéric Côté et Ernest Saint-Pierre sont tués près de Saint-Louis-de-Blandford par deux braqueurs de banque qui viennent de s'évader.

    L'un d'eux est nul autre que Jacques Mesrine, ennemi public no 1 au Québec durant les années 70, et qui sera criblé de balles par la police française à Paris sept ans plus tard.

    10 novembre 1985

    L'agent Alain Chouinard est tué d'une balle tirée par un individu qui chassait le cerf de Virginie durant la nuit. Le décès a été considéré comme accidentel et il n'y a jamais eu de poursuite criminelle contre le chasseur.

    10 octobre 1989

    L'agent Luc Guindon meurt transpercé d'une flèche tirée par un chasseur d'orignal dans la région de Sainte-Agathe. La mort a été également considérée comme accidentelle et il n'y a pas eu de poursuite criminelle contre le braconnier.

    15 septembre 1992

    L'agent Patrick Poirier meurt d'hypothermie après que l'avion dans lequel il se trouvait se fut renversé sur un lac du secteur de Schefferville.

    5 novembre 2005

    Les agents Nicolas Rochette et Fernand Vachon, ainsi que leur pilote, périssent dans l'écrasement d'un avion lors d'une opération visant à contrer la chasse de nuit en Beauce.

    1er mars 2007

    L'agent Richard Cayouette est mortellement happé par une motoneige lors d'un accident de travail au nord de Chapais, près de Chibougamau.

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    Piégé par un agent de la Faune Empty Re: Piégé par un agent de la Faune

    Message  Admin Lun 9 Avr 2007 - 10:41

    Femmes recherchées
    Daniel Renaud
    Le Journal de Montréal
    08/04/2007 10h44


    Le Service de la protection de la faune du Québec compte environ 550 agents, dont à peine une quinzaine de femmes. À compétence égale, celles-ci seront cependant privilégiées lors des embauches futures. Le salaire maximum d'un agent de la faune est de 49 700 $ depuis le premier avril.

    Laboratoire occupé

    Le Service de la protection de la faune possède son propre laboratoire où travaillent à temps plein un chimiste, un vétérinaire et un spécialiste en faune aquatique et oiseaux migrateurs.

    On y fait notamment des analyses de la viande et du poisson saisis et des études balistiques. Entre 2500 et 3000 prélèvements y sont effectués chaque année.

    Les agents ont aussi leur «Nicolet»

    Comme les policiers, qui ont l'École nationale de police du Québec qui a pignon sur rue à Nicolet en Mauricie, les agents de la faune ont leur école, qui est située dans le centre récréotouristique Duchesnay, à Sainte-Catherine-de-la-Jacques-Cartier. La durée de la formation est de 26 semaines.

    En raison de la complexité grandissante des enquêtes et de la technologie utilisée, les responsables du Service de la protection de la faune demandent au Conseil du Trésor d'obliger les futurs agents à suivre une technique de niveau collégial. Actuellement, un diplôme de niveau secondaire 5 est exigé.

    Un outil essentiel

    Bon an, mal an, 12 000 appels sont reçus sur la ligne S.O.S Braconnage. C'est la principale source d'information des agents de la faune qui ouvrent entre 200 et 350 enquêtes ou dossiers annuellement.

    La faune étudiante

    L'éducation est également l'un des mandats des agents de la faune qui visitent annuellement 25 000 écoliers.

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    • Braconnage: sans pitié pour les animaux
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    Message  chasseur Lun 9 Avr 2007 - 10:53

    ha aucunne pitier pour le le gars moi, :3d19:
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    Message  Admin Lun 9 Avr 2007 - 10:54

    Moi non plus
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    chasseur
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    Message  chasseur Lun 9 Avr 2007 - 11:04

    j ai ete battue par mon pere parce que je refuait de manger de se pain la j aime mieux rien manger
    ses pour sa que je suis sens pitier
    hunter441
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    Piégé par un agent de la Faune Empty Re: Piégé par un agent de la Faune

    Message  hunter441 Mar 10 Avr 2007 - 1:14

    bon renseignement ca maurice
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    Martin V
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    Message  Martin V Mar 10 Avr 2007 - 1:21

    Tant mieux pour lui il l'a bien mérité et on voit que les gardes-chsses rafine leur technique...C'est très bien ca !!!!
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    Predateu
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    Message  Predateu Mar 10 Avr 2007 - 1:31

    tres beau travail de recherche maurice merci et continu

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