Accueil
Un tres bel article de l'association des armes a feu du Canada.
J'aime beaucoup les comparaisons qu'ils utilise...haha !
Cest un article publier en anglais partout au Canada, l'association est a Edmonton.
Le Bloc Québécois a récemment distribué un pamphlet style propagande au sujet de l’enregistrement des armes longues. Évidemment, le Bloc Québécois maintient son appui et sa confiance envers le registre en le comparant à des registres gouvernementaux bien connus. Comme ceux des voitures et des chiens.
Le Bloc Québécois affirme que puisque nous devons enregistrer nos voitures et nos chiens, alors pourquoi ne pas enregistrer les armes longues? Ce raisonnement erroné est répété sans cesse par le lobby du contrôle des armes et semble être celui que le Bloc ait décidé de promulguer à son tour. Il est évident que le Bloc Québécois adore les registres de toutes sortes.
Similairement, le fait d’enregistrer les chiens, les a-t-il empêché de mordre les gens?
Il est clair que la réponse à toutes ces questions est non! Cependant, le Bloc Québécois, s’imagine que par magie, les délits criminels impliquant les armes longues vont soudainement disparaître, tout simplement parce qu’une arme est inscrite dans une base de données du Gouvernement. Le Bloc Québécois considère la bureaucratie comme étant une solution miracle.
Il y a même des policiers qui ne croient pas au registre des armes à feu. L’ancien chef de police de la ville de Toronto et actuel Commissaire de la Police Provinciale de l’Ontario, Julian Fantino, a prononcé publiquement que : « Le registre des armes à feu n’avait pas réussi d’empêcher ou d’élucider des délits criminels impliquant des armes à feu ».
La plupart des registres gouvernementaux sont plutôt inoffensifs et leurs frais inhérents ne sont rien de plus que des taxes déguisées. Vous devez payer l’immatriculation de votre voiture, votre permis de conduire, la médaille de votre chien, etc. Ces frais sont utilisés pour l’entretien et la construction des routes et les services de contrôle animal des municipalités.
Cependant, les registres d’armes à feu sont loin d’être des outils bénéfiques qui visent à augmenter la sécurité publique. Leur raison d’être insidieuse et à peine voilée a un but ultime : La confiscation. Historiquement, l’enregistrement des armes à feu a toujours précédé leur confiscation. Nous en avons eu la démonstration par des prohibitions et saisies massive en Australie et au Royaume-Uni durant les années 1990.
De plus, si vous n’immatriculez pas votre voiture, que vous ne la conduisez pas et la gardez dans votre cour ou que vous n’enregistrez pas votre chien et que vous le gardez à la maison, vous ne risquez aucune sanction. On ne peut dire la même chose lorsqu’il s’agit d’armes à feu. Si vous n’enregistrez pas votre arme à feu, pour un acte d’omission, vous risquez une arrestation, une accusation criminelle, un dossier criminel et même une incarcération. – Même si ce n’est qu’un « crime papier ». Comment est-ce que cela puisse être un bienfait pour la société? La sécurité publique se trouve-t-elle améliorée par ces sanctions disproportionnées sur le dos de citoyens qui sont habituellement respectueux des lois?
L’argument de la « sécurité publique », est répété continuellement par le Bloc Québécois et d’autres, malgré le fait que l’enregistrement des armes n’a pas contribuer à prévenir des crimes hautement médiatisés ici même au Québec:
N’oublions surtout pas, que les criminels n’enregistrent pas leurs armes illégales, par définition ils n’obéissent pas aux lois. Ceci est la raison principale de l’échec retentissant du registre des armes à feu des Libéraux : Les mauvaises personnes en sont la cible. Les propriétaires légitimes d’armes à feu n’ont jamais été un risque pour la sécurité publique, ils ne sont pas la cause du problème. Il faut plutôt cibler les motards criminalisés, les gangs de rues et le crime organisé qui sont entrain de transformer les rue du Québec en champs de bataille.
Mais le Bloc Québécois, fait fi de ces réalités car ce qui compte pour eux c’est de donner l’impression qu’ils font quelque chose plutôt que de diriger leurs efforts aux causes réelles des crimes commis par arme à feu au Canada. Ils ont décidé d’appuyer et même de renforcir l’illusion de sécurité publique offerte par le programme raté de contrôle des armes à feu des Libéraux. La population en général semble malheureusement préférer croire cette illusion pour le moment. Ceci doit changer.
Le registre des armes à feu est la pierre angulaire sur laquelle cette illusion a été construite. La détruire ferait en sorte que les intérêts politiques et la vénalité du Bloc Québécois seraient exposés au grand jour. Ils veulent éviter ceci à tout prix et par conséquent, les droits des propriétaires d’armes à feu du Québec se font sacrifier sur l’autel de la rectitude politique du Bloc Québécois.
Il existe déjà des solutions beaucoup plus efficaces et réalistes pour s’attaquer à la criminalité et aux crimes commis avec des armes à feu. En voici quelques unes.
Le Bloc Québécois ressemble beaucoup au clergé de jadis qui voulait tout savoir sur notre vie personnelle. Le Québec est peut-être sorti de la grande noirceur, mais le Bloc Québécois tient à nous replonger dans une nouvelle noirceur en voulant exercer un contrôle excessif sur divers aspects de notre vie personnelle. Est-ce vraiment des affaires du gouvernement de savoir ce que vous possédez?
La possession civile d’armes à feu est un baromètre de la liberté. Voulez-vous vraiment vivre dans un pays où seul les policiers et les militaires peuvent posséder des armes à feu, comme dans les dictatures et les pays communiste que l’on retrouve encore aujourd’hui?
L’histoire nous enseigne qu’il faut se méfier des politiciens qui veulent nous désarmer – Surtout ceux qui proclament que c’est « pour notre bien ».
Nous devons nous souvenir de ces leçons la prochaine fois que nous irons aux urnes, surtout lorsque le candidat du Bloc Québécois frappera à notre porte. En tant que propriétaire responsable d’armes à feu nous devons cesser d’appuyer les partis politiques qui ne nous respectent pas et veulent nous faire perdre nos droits de citoyens respectueux des Lois.
Stephen Buddo
NFA Director - Quebec
J'aime beaucoup les comparaisons qu'ils utilise...haha !
Cest un article publier en anglais partout au Canada, l'association est a Edmonton.
Le Bloc Québécois a récemment distribué un pamphlet style propagande au sujet de l’enregistrement des armes longues. Évidemment, le Bloc Québécois maintient son appui et sa confiance envers le registre en le comparant à des registres gouvernementaux bien connus. Comme ceux des voitures et des chiens.
Le Bloc Québécois affirme que puisque nous devons enregistrer nos voitures et nos chiens, alors pourquoi ne pas enregistrer les armes longues? Ce raisonnement erroné est répété sans cesse par le lobby du contrôle des armes et semble être celui que le Bloc ait décidé de promulguer à son tour. Il est évident que le Bloc Québécois adore les registres de toutes sortes.
English »
Mais voici la question qui s’impose : Les registres sont-ils efficaces? Par exemple, le fait d’enregistrer les voitures a-t-il:- Empêché les gens de se blesser ou de se tuer au volant?
- Empêché les gens de conduire en état d’ébriété?
- Empêché les gens de brûler les feux rouges?
- Empêché les gens de brûler les arrêts obligatoires?
Similairement, le fait d’enregistrer les chiens, les a-t-il empêché de mordre les gens?
Il est clair que la réponse à toutes ces questions est non! Cependant, le Bloc Québécois, s’imagine que par magie, les délits criminels impliquant les armes longues vont soudainement disparaître, tout simplement parce qu’une arme est inscrite dans une base de données du Gouvernement. Le Bloc Québécois considère la bureaucratie comme étant une solution miracle.
Il y a même des policiers qui ne croient pas au registre des armes à feu. L’ancien chef de police de la ville de Toronto et actuel Commissaire de la Police Provinciale de l’Ontario, Julian Fantino, a prononcé publiquement que : « Le registre des armes à feu n’avait pas réussi d’empêcher ou d’élucider des délits criminels impliquant des armes à feu ».
La plupart des registres gouvernementaux sont plutôt inoffensifs et leurs frais inhérents ne sont rien de plus que des taxes déguisées. Vous devez payer l’immatriculation de votre voiture, votre permis de conduire, la médaille de votre chien, etc. Ces frais sont utilisés pour l’entretien et la construction des routes et les services de contrôle animal des municipalités.
Cependant, les registres d’armes à feu sont loin d’être des outils bénéfiques qui visent à augmenter la sécurité publique. Leur raison d’être insidieuse et à peine voilée a un but ultime : La confiscation. Historiquement, l’enregistrement des armes à feu a toujours précédé leur confiscation. Nous en avons eu la démonstration par des prohibitions et saisies massive en Australie et au Royaume-Uni durant les années 1990.
De plus, si vous n’immatriculez pas votre voiture, que vous ne la conduisez pas et la gardez dans votre cour ou que vous n’enregistrez pas votre chien et que vous le gardez à la maison, vous ne risquez aucune sanction. On ne peut dire la même chose lorsqu’il s’agit d’armes à feu. Si vous n’enregistrez pas votre arme à feu, pour un acte d’omission, vous risquez une arrestation, une accusation criminelle, un dossier criminel et même une incarcération. – Même si ce n’est qu’un « crime papier ». Comment est-ce que cela puisse être un bienfait pour la société? La sécurité publique se trouve-t-elle améliorée par ces sanctions disproportionnées sur le dos de citoyens qui sont habituellement respectueux des lois?
L’argument de la « sécurité publique », est répété continuellement par le Bloc Québécois et d’autres, malgré le fait que l’enregistrement des armes n’a pas contribuer à prévenir des crimes hautement médiatisés ici même au Québec:
- L’arme du Caporal Lortie était enregistrée en tant que matériel militaire.
- L’arme de Marc Lépine (Gamil Gharby) était enregistrée lorsqu’il l’a achetée chez Checkmate Sports. Ceci était le registre papier de la GRC.
- Les armes de Valery Fabrikant étaient dûment enregistrées.
- Les armes de Kimveer Gill étaient enregistrées, selon les dispositions de la loi actuelle, C-68.
N’oublions surtout pas, que les criminels n’enregistrent pas leurs armes illégales, par définition ils n’obéissent pas aux lois. Ceci est la raison principale de l’échec retentissant du registre des armes à feu des Libéraux : Les mauvaises personnes en sont la cible. Les propriétaires légitimes d’armes à feu n’ont jamais été un risque pour la sécurité publique, ils ne sont pas la cause du problème. Il faut plutôt cibler les motards criminalisés, les gangs de rues et le crime organisé qui sont entrain de transformer les rue du Québec en champs de bataille.
Mais le Bloc Québécois, fait fi de ces réalités car ce qui compte pour eux c’est de donner l’impression qu’ils font quelque chose plutôt que de diriger leurs efforts aux causes réelles des crimes commis par arme à feu au Canada. Ils ont décidé d’appuyer et même de renforcir l’illusion de sécurité publique offerte par le programme raté de contrôle des armes à feu des Libéraux. La population en général semble malheureusement préférer croire cette illusion pour le moment. Ceci doit changer.
Le registre des armes à feu est la pierre angulaire sur laquelle cette illusion a été construite. La détruire ferait en sorte que les intérêts politiques et la vénalité du Bloc Québécois seraient exposés au grand jour. Ils veulent éviter ceci à tout prix et par conséquent, les droits des propriétaires d’armes à feu du Québec se font sacrifier sur l’autel de la rectitude politique du Bloc Québécois.
Il existe déjà des solutions beaucoup plus efficaces et réalistes pour s’attaquer à la criminalité et aux crimes commis avec des armes à feu. En voici quelques unes.
- L’incarcération. Un programme social qui a fait ses preuves et qui assure la sécurité des citoyens payeurs de taxes – Lorsqu’un criminel est incarcéré, il ne peut pas commettre d’autres crimes, laissant les gens vivre leur vie en toute quiétude. Jumelé à des peines minimales sévères, pour lesquelles on ne pourrait pas marchander un plaidoyer, un effet dissuasif se manifeste.
- Mieux traiter la maladie mentale. Il est clair que des gens comme Lépine, Lortie, Fabrikant et Gill souffraient d’une maladie mentale. Les politiciens ont gaspillé 2 milliards de vos dollars si durement gagnés pour créer et entretenir le registre des armes longues. Imaginez la quantité de gens souffrant de maladie mentale qu’on aurait pu diagnostiquer, traiter et suivre avec ces 2 milliards de dollars? Combien de vies auraient été sauvées ainsi?
- Permettre l’exercice de notre droit le plus fondamental, la légitime défense. Marc Lépine a facilement abattu quatorze femmes puisqu’elles étaient toutes non armées. Imaginez la tournure des événements si une ou deux de ces femmes étaient armées? Votre vie est ce que vous avez de plus précieux et les policiers ont présentement le monopole sur sa protection. N’oublions pas que lorsque qu’il s’agit de secondes, les policiers seront là en quelques minutes.
Le Bloc Québécois ressemble beaucoup au clergé de jadis qui voulait tout savoir sur notre vie personnelle. Le Québec est peut-être sorti de la grande noirceur, mais le Bloc Québécois tient à nous replonger dans une nouvelle noirceur en voulant exercer un contrôle excessif sur divers aspects de notre vie personnelle. Est-ce vraiment des affaires du gouvernement de savoir ce que vous possédez?
La possession civile d’armes à feu est un baromètre de la liberté. Voulez-vous vraiment vivre dans un pays où seul les policiers et les militaires peuvent posséder des armes à feu, comme dans les dictatures et les pays communiste que l’on retrouve encore aujourd’hui?
L’histoire nous enseigne qu’il faut se méfier des politiciens qui veulent nous désarmer – Surtout ceux qui proclament que c’est « pour notre bien ».
Nous devons nous souvenir de ces leçons la prochaine fois que nous irons aux urnes, surtout lorsque le candidat du Bloc Québécois frappera à notre porte. En tant que propriétaire responsable d’armes à feu nous devons cesser d’appuyer les partis politiques qui ne nous respectent pas et veulent nous faire perdre nos droits de citoyens respectueux des Lois.
Stephen Buddo
NFA Director - Quebec
