Du 30 janvier au 9 février, des biologistes et techniciens de la faune du ministère des Ressources naturelles et de la Faune (MRNF) ont procédé à un inventaire aérien des orignaux dans les réserves fauniques gouvernementales de Matane et de Dunière, au Bas-Saint-Laurent, ce qui leur permis de découvrir que la densité de la population de ce gros cervidé y est maintenant de 33 orignaux/10 km2. Ce qui constitue une diminution importante de ce gros gibier depuis cinq ans, surtout dans la réserve de Matane.
Mais la densité d'orignaux dans ces deux réserves fauniques est encore au moins trois fois supérieure à ce qu'elle est dans les territoires publics libres du sud du Québec. Cette densité a diminué de 30 % en cinq ans dans Matane, passant de 47,6 orignaux/10 km2 en 2007 à 33/10 km2 en 2012. Dans Dunière, la diminution est de 18 %, passant de 40,1 orignaux/10 km2 en 2007 à 33 orignaux/10 km2 aujourd'hui.
Cette situation actuelle ne cause cependant aucune surprise ni crainte aux scientifiques du MRNF, puisqu'elle était prévue et même souhaitée, comme je vous l'ai déjà souligné. Et ces scientifiques n'ont jamais caché qu'ils œuvraient dans ce sens-là pour protéger la survie des orignaux au bénéfice des générations futures de chasseurs.
En effet, des mesures ont été prises depuis 2007 pour réduire sensiblement le nombre d'orignaux dans ces deux territoires de façon à atteindre une densité de quelque 30 orignaux/10 km2 : les scientifiques ont jugé que ce niveau serait plus sécuritaire pour la survie des gros gibiers et pour l'avenir de leur habitat. Voilà pourquoi on y avait intensifié la chasse pour récoltant plus d'orignaux femelles afin d'y réduire la reproduction.
Ainsi, en l'espace de cinq ans seulement, la récolte de ces femelles est passée graduellement de 75 à 500 annuellement dans la réserve de Matane, et de 40 à 230 par an dans Dunière.
Il n'est pas assuré que la situation actuelle fasse le bonheur des chasseurs d'orignal... Ces derniers ne voient plus autant d'orignaux qu'antérieurement dans les territoires concernés, et leur succès n'est plus de 100 % comme il l'était voilà seulement cinq ans.
Le ministère veut dorénavant maintenir là cette densité de 30 orignaux/10 km2
Mais la densité d'orignaux dans ces deux réserves fauniques est encore au moins trois fois supérieure à ce qu'elle est dans les territoires publics libres du sud du Québec. Cette densité a diminué de 30 % en cinq ans dans Matane, passant de 47,6 orignaux/10 km2 en 2007 à 33/10 km2 en 2012. Dans Dunière, la diminution est de 18 %, passant de 40,1 orignaux/10 km2 en 2007 à 33 orignaux/10 km2 aujourd'hui.
Cette situation actuelle ne cause cependant aucune surprise ni crainte aux scientifiques du MRNF, puisqu'elle était prévue et même souhaitée, comme je vous l'ai déjà souligné. Et ces scientifiques n'ont jamais caché qu'ils œuvraient dans ce sens-là pour protéger la survie des orignaux au bénéfice des générations futures de chasseurs.
En effet, des mesures ont été prises depuis 2007 pour réduire sensiblement le nombre d'orignaux dans ces deux territoires de façon à atteindre une densité de quelque 30 orignaux/10 km2 : les scientifiques ont jugé que ce niveau serait plus sécuritaire pour la survie des gros gibiers et pour l'avenir de leur habitat. Voilà pourquoi on y avait intensifié la chasse pour récoltant plus d'orignaux femelles afin d'y réduire la reproduction.
Ainsi, en l'espace de cinq ans seulement, la récolte de ces femelles est passée graduellement de 75 à 500 annuellement dans la réserve de Matane, et de 40 à 230 par an dans Dunière.
Il n'est pas assuré que la situation actuelle fasse le bonheur des chasseurs d'orignal... Ces derniers ne voient plus autant d'orignaux qu'antérieurement dans les territoires concernés, et leur succès n'est plus de 100 % comme il l'était voilà seulement cinq ans.
Le ministère veut dorénavant maintenir là cette densité de 30 orignaux/10 km2