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Un québécois se promène sur le bord des lignes, tenant son grand fusil de chasse sur son épaule, prêt pour sa journée de chasse au canard. À peine a-t-il parcouru quelques centaines de mètre qu’il voit une volée de canards devant lui. Épaulant son fusil avec précaution, il tire sur le plus gros. Celui-ci s’envole dû à l’empressement du chasseur, accompagné de tout ses confrères. Mirant encore, essayant de ne pas perdre ce beau gibier, notre bon québécois l’abat en plein vol alors qu’il essayait de s’esquiver derrière la fôret.
S’approchant de son trophé, il voit un homme qui s’empare de l’animal mort.
-Hey, tu touches pas à ça, c’est mon canard, dit-il en brandissant son fusil.
-Peut-être répondit l’américain, mais il est tombé de mon côté des lignes, ce qui en fait mon canard.
-Oh que non, c’est moi qui l’ai tué, c’est moi qui part avec.
-Peut-être que tu l’as tué, mais maintenant il est américain, donc à moi.
Pensant à son affaire, le québécois sourit et propose un marché à l’américain:
-Ok, tchek ben ca. On va faire un petit concours, pi le gagnant part avec le canard. Tu vas te placer les jambes écartées, pi j’vais te foutre mon pied dans tes petites OO, du plus fort que je peux, pi après ça ca va être ton tour. Celui qui crit le moins fort se barre avec le canard, ca te va?
L’américain réfléchit à la proposition, puis fini par accepter. Il dépose le canard sur le sol a ses côtés, écarte les jambes, et respire un bon coup. Le québécois, souriant, prend toutes ses forces, probablement soutenu par l’espirt du québec en entier, et décoche le plus puissant coup de pied de toute sa carrière de québécois. L’américain plit sous l’impact, laisse sortir un petit cri étouffé, puis tombe en plein visage, les mains portés sur son paquet blessé. Reprenant lentement goût à la vie, il réussit à se relever et à se tenir sur ses jambes chancelantes.
-Okay &^$^%, now c’est toi qui se place, pi watch your jowel, ca va fesser!
Le québécois part à rire devant l’américain en larmes.
-Pfff, tu peux ben le garder ton ^%#@ de canard!
Source :
Le bouche à oreille a fait de cette joke un vieux classique !
