Luc Larochelle
La tribune
(Stukely-Sud)[url=http://www.chasseursetpecheursduquebec.com/javascript:toggleImage('/images/bizphotos/569x379/201108/18/359153.jpg','Un cheval attaqué par un couguar?', 0);][/url]
(Stukely-Sud) Céline Picken Jr en tremble encore, elle ne s'approche plus seule de l'enclos à l'intérieur duquel ses chevaux avaient l'habitude de brouter paisiblement. Cette jeune femme de 20 ans a eu la peur de sa vie en voyant bondir au-dessus de son épaule un costaud félin, qui s'est rué sur la plus petite des deux juments qu'elle était à nourrir.
Cette attaque sournoise est survenue le 28 juillet dernier dans une clairière ceinturée de bois, qui longe la route 112, à deux kilomètres du village de Stukely-Sud. Elle demeure un mystère.
Le ministère des Ressources naturelles et de la Faune est en attente des résultats d'analyses de poils prélevés sur place qui pourraient être ceux d'un couguar. Pour le moment, d'autres témoignages corroborent celui de Mlle Picken, persuadée de s'être trouvée en présence de cet intimidant félin à longue queue.
«Il était énorme, il faisait la moitié de la taille du cheval. Les juments l'ont aperçu avant moi et ont été prises de panique. Je ne comprenais pas ce qui se passait. Le prédateur est arrivé dans mon dos sans jamais que je perçoive sa présence et il a bondi au-dessus de mon épaule en ciblant Dolly. Jamais il ne m'a menacée», raconte-t-elle avec émotion.
Le cheval visé a sauté la clôture de l'enclos pour tenter de prendre la fuite. Son agresseur l'a rattrapé dans la forêt ceinturant le pré et s'y est agrippé, de toute évidence, pour le prendre à la gorge.
«Je ne voyais pas ce qui se passait, j'entendais juste des sons. C'était effrayant. Tout à coup, Dolly est revenue couverte de sang, avec des lacérations profondes. Son agresseur avait disparu».
Céline Picken Jr en tremble encore, elle ne s'approche plus seule de l'enclos à l'intérieur duquel ses chevaux avaient l'habitude de brouter paisiblement. Cette jeune femme de 20 ans a eu la peur de sa vie en voyant bondir au-dessus de son épaule un costaud félin, qui s'est rué sur la plus petite des deux juments qu'elle était à nourrir.
Cette attaque sournoise est survenue le 28 juillet dernier dans une clairière ceinturée de bois, qui longe la route 112, à deux kilomètres du village de Stukely-Sud. Elle demeure un mystère.
Le ministère des Ressources naturelles et de la Faune est en attente des résultats d'analyses de poils prélevés sur place qui pourraient être ceux d'un couguar. Pour le moment, d'autres témoignages corroborent celui de Mlle Picken, persuadée de s'être trouvée en présence de cet intimidant félin à longue queue.
«Il était énorme, il faisait la moitié de la taille du cheval. Les juments l'ont aperçu avant moi et ont été prises de panique. Je ne comprenais pas ce qui se passait. Le prédateur est arrivé dans mon dos sans jamais que je perçoive sa présence et il a bondi au-dessus de mon épaule en ciblant Dolly. Jamais il ne m'a menacée», raconte-t-elle avec émotion.
Le cheval visé a sauté la clôture de l'enclos pour tenter de prendre la fuite. Son agresseur l'a rattrapé dans la forêt ceinturant le pré et s'y est agrippé, de toute évidence, pour le prendre à la gorge.
«Je ne voyais pas ce qui se passait, j'entendais juste des sons. C'était effrayant. Tout à coup, Dolly est revenue couverte de sang, avec des lacérations profondes. Son agresseur avait disparu».
(Stukely-Sud) Céline Picken Jr en tremble encore, elle ne s'approche plus seule de l'enclos à l'intérieur duquel ses chevaux avaient l'habitude de brouter paisiblement. Cette jeune femme de 20 ans a eu la peur de sa vie en voyant bondir au-dessus de son épaule un costaud félin, qui s'est rué sur la plus petite des deux juments qu'elle était à nourrir.
Cette attaque sournoise est survenue le 28 juillet dernier dans une clairière ceinturée de bois, qui longe la route 112, à deux kilomètres du village de Stukely-Sud. Elle demeure un mystère.
Le ministère des Ressources naturelles et de la Faune est en attente des résultats d'analyses de poils prélevés sur place qui pourraient être ceux d'un couguar. Pour le moment, d'autres témoignages corroborent celui de Mlle Picken, persuadée de s'être trouvée en présence de cet intimidant félin à longue queue.
«Il était énorme, il faisait la moitié de la taille du cheval. Les juments l'ont aperçu avant moi et ont été prises de panique. Je ne comprenais pas ce qui se passait. Le prédateur est arrivé dans mon dos sans jamais que je perçoive sa présence et il a bondi au-dessus de mon épaule en ciblant Dolly. Jamais il ne m'a menacée», raconte-t-elle avec émotion.
Le cheval visé a sauté la clôture de l'enclos pour tenter de prendre la fuite. Son agresseur l'a rattrapé dans la forêt ceinturant le pré et s'y est agrippé, de toute évidence, pour le prendre à la gorge.
«Je ne voyais pas ce qui se passait, j'entendais juste des sons. C'était effrayant. Tout à coup, Dolly est revenue couverte de sang, avec des lacérations profondes. Son agresseur avait disparu».
Taureau noir
La tribune
(Stukely-Sud)[url=http://www.chasseursetpecheursduquebec.com/javascript:toggleImage('/images/bizphotos/569x379/201108/18/359153.jpg','Un cheval attaqué par un couguar?', 0);][/url]
(Stukely-Sud) Céline Picken Jr en tremble encore, elle ne s'approche plus seule de l'enclos à l'intérieur duquel ses chevaux avaient l'habitude de brouter paisiblement. Cette jeune femme de 20 ans a eu la peur de sa vie en voyant bondir au-dessus de son épaule un costaud félin, qui s'est rué sur la plus petite des deux juments qu'elle était à nourrir.
Cette attaque sournoise est survenue le 28 juillet dernier dans une clairière ceinturée de bois, qui longe la route 112, à deux kilomètres du village de Stukely-Sud. Elle demeure un mystère.
Le ministère des Ressources naturelles et de la Faune est en attente des résultats d'analyses de poils prélevés sur place qui pourraient être ceux d'un couguar. Pour le moment, d'autres témoignages corroborent celui de Mlle Picken, persuadée de s'être trouvée en présence de cet intimidant félin à longue queue.
«Il était énorme, il faisait la moitié de la taille du cheval. Les juments l'ont aperçu avant moi et ont été prises de panique. Je ne comprenais pas ce qui se passait. Le prédateur est arrivé dans mon dos sans jamais que je perçoive sa présence et il a bondi au-dessus de mon épaule en ciblant Dolly. Jamais il ne m'a menacée», raconte-t-elle avec émotion.
Le cheval visé a sauté la clôture de l'enclos pour tenter de prendre la fuite. Son agresseur l'a rattrapé dans la forêt ceinturant le pré et s'y est agrippé, de toute évidence, pour le prendre à la gorge.
«Je ne voyais pas ce qui se passait, j'entendais juste des sons. C'était effrayant. Tout à coup, Dolly est revenue couverte de sang, avec des lacérations profondes. Son agresseur avait disparu».
Céline Picken Jr en tremble encore, elle ne s'approche plus seule de l'enclos à l'intérieur duquel ses chevaux avaient l'habitude de brouter paisiblement. Cette jeune femme de 20 ans a eu la peur de sa vie en voyant bondir au-dessus de son épaule un costaud félin, qui s'est rué sur la plus petite des deux juments qu'elle était à nourrir.
Cette attaque sournoise est survenue le 28 juillet dernier dans une clairière ceinturée de bois, qui longe la route 112, à deux kilomètres du village de Stukely-Sud. Elle demeure un mystère.
Le ministère des Ressources naturelles et de la Faune est en attente des résultats d'analyses de poils prélevés sur place qui pourraient être ceux d'un couguar. Pour le moment, d'autres témoignages corroborent celui de Mlle Picken, persuadée de s'être trouvée en présence de cet intimidant félin à longue queue.
«Il était énorme, il faisait la moitié de la taille du cheval. Les juments l'ont aperçu avant moi et ont été prises de panique. Je ne comprenais pas ce qui se passait. Le prédateur est arrivé dans mon dos sans jamais que je perçoive sa présence et il a bondi au-dessus de mon épaule en ciblant Dolly. Jamais il ne m'a menacée», raconte-t-elle avec émotion.
Le cheval visé a sauté la clôture de l'enclos pour tenter de prendre la fuite. Son agresseur l'a rattrapé dans la forêt ceinturant le pré et s'y est agrippé, de toute évidence, pour le prendre à la gorge.
«Je ne voyais pas ce qui se passait, j'entendais juste des sons. C'était effrayant. Tout à coup, Dolly est revenue couverte de sang, avec des lacérations profondes. Son agresseur avait disparu».
(Stukely-Sud) Céline Picken Jr en tremble encore, elle ne s'approche plus seule de l'enclos à l'intérieur duquel ses chevaux avaient l'habitude de brouter paisiblement. Cette jeune femme de 20 ans a eu la peur de sa vie en voyant bondir au-dessus de son épaule un costaud félin, qui s'est rué sur la plus petite des deux juments qu'elle était à nourrir.
Cette attaque sournoise est survenue le 28 juillet dernier dans une clairière ceinturée de bois, qui longe la route 112, à deux kilomètres du village de Stukely-Sud. Elle demeure un mystère.
Le ministère des Ressources naturelles et de la Faune est en attente des résultats d'analyses de poils prélevés sur place qui pourraient être ceux d'un couguar. Pour le moment, d'autres témoignages corroborent celui de Mlle Picken, persuadée de s'être trouvée en présence de cet intimidant félin à longue queue.
«Il était énorme, il faisait la moitié de la taille du cheval. Les juments l'ont aperçu avant moi et ont été prises de panique. Je ne comprenais pas ce qui se passait. Le prédateur est arrivé dans mon dos sans jamais que je perçoive sa présence et il a bondi au-dessus de mon épaule en ciblant Dolly. Jamais il ne m'a menacée», raconte-t-elle avec émotion.
Le cheval visé a sauté la clôture de l'enclos pour tenter de prendre la fuite. Son agresseur l'a rattrapé dans la forêt ceinturant le pré et s'y est agrippé, de toute évidence, pour le prendre à la gorge.
«Je ne voyais pas ce qui se passait, j'entendais juste des sons. C'était effrayant. Tout à coup, Dolly est revenue couverte de sang, avec des lacérations profondes. Son agresseur avait disparu».
Taureau noir