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Grâce à la collaboration de la Fondation de la faune du Québec, plus de 200 jeunes de neuf à 12 ans seront initiés à la pêche blanche cet hiver.
Dans le cadre de son programme pour la relève, la fondation a aidé financièrement trois associations qui s’occuperont de faire découvrir cette activité hivernale pratiquée depuis de nombreuses années. « Nous voulons que les jeunes apprennent que, même en hiver, il est possible de pratiquer la pêche de façon sécuritaire et aussi de connaître du succès avec des prises intéressantes, dit le grand patron de la fondation, André Martin. En aidant les associations, de concert avec des partenaires importants, dont Canadian Tire, nous serons en mesure de faire découvrir l’activité à plus de 2 000 jeunes partout au Québec, assurant ainsi la relève. »
Au total, 2 193 jeunes participeront à des activités. La grande majorité, soit 77 % d’entre eux, proviennent des régions de l’Abitibi-Témiscamingue, de Laval et de l’Outaouais. Il faut dire ici que, dans ces régions, la pêche d’hiver se pratique sur plus de plans d’eau qu’ailleurs au Québec. Le ministère des Ressources naturelles et de la Faune y a octroyé des permissions en plus grand nombre parce que l’on y retrouve plusieurs plans d’eau publics.
Ailleurs, on retrouve plusieurs territoires structurés. Au total, ce sont 21 organismes provenant de 10 régions administratives du Québec qui offriront cette activité.
Sur le territoire du Journal, il y aura entre autres des activités à Baie-Comeau, où l’Organisme de bassins versants Manicouagan initiera 30 jeunes, au lac Cinq Cents. Pour sa part, le Centre de formation professionnelle de La Baie permettra à 130 jeunes de découvrir la pêche blanche dans la baie des Ha! Ha! Il faut dire ici qu’ils ont la chance de pouvoir travailler avec l’un des plus importants lieu de pêche blanche du Québec, qui comporte plus de 1 200 cabanes. Enfin, sur le lac Saint-Joseph, l’Association chasse et pêche Catshalac initiera 44 jeunes de l’école Les Primevères Jouvence.
Une tradition
La formation de ces nouveaux adeptes s’inscrit dans une lignée d’actions posées par la fondation pour arriver à former de nouveaux pêcheurs. Depuis 1997, le programme Pêche en herbe de l’organisme a permis d’initier plus de 145 000 jeunes, dont 16 700 à la pêche blanche.
« L’activité de pêche blanche met à contribution les organismes locaux et nous permet de rejoindre les jeunes durant la période hivernale. Le Québec compte plus d’un million de pêcheurs qui fréquentent et protègent les lacs et les rivières, une richesse unique de notre vaste territoire québécois. Nous souhaitons que cette journée d’initiation à la pêche permette à ces jeunes adeptes de s’ajouter aux nombreux pêcheurs québécois », dit en terminant André Martin.
Chacun des jeunes qui participera à ces journées recevra un certificat de Pêche en herbe qui lui tiendra lieu de permis de pêche jusqu’à ce qu’il atteigne l’âge de 18 ans. Il est certain que la température plus douce que nous avons connue au cours des derniers jours a pu changer les plans à certains endroits, mais comme une vague de froid est attendue, les choses vont certainement changer. Les responsables des associations qui offrent les activités sauront sûrement ce qu’ils peuvent faire dans les circonstances.
julien.cabana
Dans le cadre de son programme pour la relève, la fondation a aidé financièrement trois associations qui s’occuperont de faire découvrir cette activité hivernale pratiquée depuis de nombreuses années. « Nous voulons que les jeunes apprennent que, même en hiver, il est possible de pratiquer la pêche de façon sécuritaire et aussi de connaître du succès avec des prises intéressantes, dit le grand patron de la fondation, André Martin. En aidant les associations, de concert avec des partenaires importants, dont Canadian Tire, nous serons en mesure de faire découvrir l’activité à plus de 2 000 jeunes partout au Québec, assurant ainsi la relève. »
Au total, 2 193 jeunes participeront à des activités. La grande majorité, soit 77 % d’entre eux, proviennent des régions de l’Abitibi-Témiscamingue, de Laval et de l’Outaouais. Il faut dire ici que, dans ces régions, la pêche d’hiver se pratique sur plus de plans d’eau qu’ailleurs au Québec. Le ministère des Ressources naturelles et de la Faune y a octroyé des permissions en plus grand nombre parce que l’on y retrouve plusieurs plans d’eau publics.
Ailleurs, on retrouve plusieurs territoires structurés. Au total, ce sont 21 organismes provenant de 10 régions administratives du Québec qui offriront cette activité.
Sur le territoire du Journal, il y aura entre autres des activités à Baie-Comeau, où l’Organisme de bassins versants Manicouagan initiera 30 jeunes, au lac Cinq Cents. Pour sa part, le Centre de formation professionnelle de La Baie permettra à 130 jeunes de découvrir la pêche blanche dans la baie des Ha! Ha! Il faut dire ici qu’ils ont la chance de pouvoir travailler avec l’un des plus importants lieu de pêche blanche du Québec, qui comporte plus de 1 200 cabanes. Enfin, sur le lac Saint-Joseph, l’Association chasse et pêche Catshalac initiera 44 jeunes de l’école Les Primevères Jouvence.
Une tradition
La formation de ces nouveaux adeptes s’inscrit dans une lignée d’actions posées par la fondation pour arriver à former de nouveaux pêcheurs. Depuis 1997, le programme Pêche en herbe de l’organisme a permis d’initier plus de 145 000 jeunes, dont 16 700 à la pêche blanche.
« L’activité de pêche blanche met à contribution les organismes locaux et nous permet de rejoindre les jeunes durant la période hivernale. Le Québec compte plus d’un million de pêcheurs qui fréquentent et protègent les lacs et les rivières, une richesse unique de notre vaste territoire québécois. Nous souhaitons que cette journée d’initiation à la pêche permette à ces jeunes adeptes de s’ajouter aux nombreux pêcheurs québécois », dit en terminant André Martin.
Chacun des jeunes qui participera à ces journées recevra un certificat de Pêche en herbe qui lui tiendra lieu de permis de pêche jusqu’à ce qu’il atteigne l’âge de 18 ans. Il est certain que la température plus douce que nous avons connue au cours des derniers jours a pu changer les plans à certains endroits, mais comme une vague de froid est attendue, les choses vont certainement changer. Les responsables des associations qui offrent les activités sauront sûrement ce qu’ils peuvent faire dans les circonstances.
julien.cabana
