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Ceci est l'histoire est l'une de nos histoires de chasse raconté par mon bon copain Pierre Tessier.
Je mets pieds en Alberta pour la première fois le 15 septembre en compagnie de Yves, un copain de longue date de Dominic Imbeau. Ces avec anticipation que j'attendais ce voyage. Dominic nous attendaient, semble t'il, avec une certaine impatience de nous voir en personne et de mettre encore plus de concret au voyage a venir. On ramasse les bagages et puis direction camion. Nous avions près de 6 heures de routes à faire avant d'atteindre notre destination.
On arrive à Peace River et le souper est servit immédiatement; de la chèvre de montagne sur le BBQ appreté par Mikael Charbonneau. C'était excellent, tendre et sans goût de gibier. Je pense que tous ont aimé et j'en ai même repris une 2ieme fois. ( http://www.chevreuil.net/phpBB2/viewtopic.php?t=27584 )
Le premier matin de notre voyage, la saison de chasse n'était pas encore ouverte. En équipes de 2, le groupe de sépara pour aller prospecté ses petits coins de territoire. Le secteur est immense. Dominic a en tête un secteur spécifique dans lequel il y avait beaucoup de signes de wapiti l'année précédente. Cette journée la, le vent était fort, ce qui rendait difficile de localisé les mâles qui répondaient à nos appels. Après quelques appels, un premier beuglement se fait entendre. On prend la direction du beuglement pour tenter de voir si les mâles sont dans la coulée. Avant d’arriver sur le dessus de celle-ci, Dominic me fit remarquer qu’il y avait une odeur particulière de souille de wapiti. Après quelques secondes, il me fut possible de le sentir aussi. Une fois rendu sur le dessus de la coulée, Dominic trouva la première souille qu’il avait senti à plus de 500 pieds. Quelques pas plus loin et une autre souille fut découverte. Super! Les signes sont présents et les wapitis aussi, nul besoin d'aller plus loin, car nous reviendrons ici le lendemain matin.
Yves et Mikael de leur coté, ont eu toute une surprise en arrivant à leur secteur. Un beau 5x5 dont Mikael avait trouvé les panaches au printemps était en plein champ sur l'heure du midi au soleil. Ces quelques choses de rare, car les wapitis se montrent rarement en plein jour dans les milieux ouverts, beaucoup moins que les chevreuils. Ça augure bien pour eu aussi. Disons que nous étions pas mal content de notre prospection.
Le soir nous vérifions les carabines au champ de tir et en revenant, nous voyons 4 cerf-mulets mâle dans le font d'un champ. En les regardant, je crois qu'ils sont de bonne taille, mais Mikael me dit qu'il y en a des beaucoup plus gros. Des panaches hauts et des corps plus gros que le cerf de Virginie. J'ai trouvé le cerf mulet très impressionnant.
Un beau tapis de gelé recouvre le sol pour notre première journée de chasse. La température était parfaite; froide, sans vents et ensoleillé. Aussitôt débarqué du VTT, le son des loups a capté mon attention. C'était la première fois que j'entendais des loups. Il y en avait plusieurs et j'ai trouvé bien ça bien spécial d’entendre leurs hurlements. Quelques minutes plus tard, les coyotes se sont mêlés à la partie avec leurs appels. Une symphonie sauvage de prédateur.
En ce dirigeant vers la coulée où se trouvaient les souilles, Dominic répondit à l'appel de la nature et un wapiti se fit entendre au loin. Dominic ne pouvait pas confirmer. Continuant notre chemin, Dominic, à l’aide de son appeau, fit un beuglement et la réponse d’un wapiti fut immédiate. Le mâle était entre notre sentier de VTT et une coulée à droite, possiblement en direction de la coulée a notre gauche. À l'aide d’un appeau diaphragme, Dominic lui lança des appels de femelle. Il répondit et semblait se diriger pour prendre son vent. Suivant les conseils de Dominic, nous nous sommes empressés de retourner sur nos pas dans le chemin afin de couper le trajet du wapiti avant qu'il nous sente. Il approche à bonne vitesse et Dominic l'écoute puis décide qu'on doit encore reculer dans le chemin d'une centaine de pieds. On se place, et je suis concentré sur les sons dans le petit vallon qu'il est entrain de remonter. Après quelques minutes, une branche craqua et un bout de son panache apparu. Il arriva de notre gauche. Il s'approche et je suis impressionné de constater de la beauté et la finesse d'un wapiti sauvage venant sur le call. Il fait quelques pieds, Dominic me confirme qu'il est légal, car il a au moins 3 pointes sur un coté. Je le vois dans mon télescope, mais j'ai des buissons qui me cache les vitales. Sans me presser, Dominic me dit de le prendre car il est vraiment sur le radar et que nous allons le perdre. J'enlève le cran de sûreté, il est nerveux, je place ma croix en me dégageant du buisson et j'appuie sur la gâchette. Il fait un demi-tour et tente de retourné dans le canyon. Je recharge et je le suis avec ma croix pour tirer un 2ième coup qui lui sera fatal. Il cesse sa course, Dominic tir un coup et le wapiti tombe en même temps. À peine 75 pieds de course, notre marge était mince. Je n'en revient pas, que dire de plus. En plus d'être hyper-content, je n'arrive pas à croire que j'ai récolté mon premier wapiti au premier matin de chasse après à peine 1 heure sur le terrain; sans compter que ça en est un beau. Dominic est content et surtout stupéfait de ma réaction. Ayant vue le wapiti tomber, on lui donne quelques minutes et on part en vitesse constater l'ampleur de la situation.
En s'approchant, je l'aperçois à une 50aine de pieds de nous. En marchant vers lui, j'ai plein d'idées et d'émotion qui me passe par la tête. Étant chasseur de chevreuil, je le trouve immense. Il dégage une odeur que j'ai apprit à connaître et à bien aimer. Je saute en arrière du wapiti, je lève son panache et je constate qu'il a 5 pointes de chaque coté, ce qui en fait un 5x5. Je suis vraiment content, que dire de plus.
Yves et Mikael qui chassaient plus loin nous avaient entendu tirer. Dominic leur a envoyé un texte par cellulaire afin de le rejoindre au truck, car maintenant le travail débute. On charge le wapiti et vite il doit être mit au froid afin d’éviter de perdre la viande. En mettant le wapiti dans la boite du camion, un buck chevreuil de 8 ou 10 pointes sauta une clôture derrière nous pour traversé le champ et se rendre au boisé en face, avec le soleil du midi la scène était de toute beauté. En route pour la maison nous apercevons un coyote dans un champ, et quelques cerf-mulets. Première journée haute en émotion.
Le lendemain.....
Dimanche on se lève tard, la soirée d'avant n'a pas été de tout repos. Lundi nous nous dirigeons vers le secteur prospecté et des chasseurs y sont avant nous, alors Dominic et moi nous allons où il avait récolté sont wapiti 2 ans auparavant. Le paysage est magnifique, une immense coulée pleine de couleur et de sentier de cervidés. Aucunes réponses se fut entendre cette journée la, car la pleine lune était au rendez-vous et sembla ralentir l'activité sur les sites de chasse.
Plus tard en journée Dominic, Yves et moi débitons mon wapiti. Yves est un ancien boucher de métier et il connaît toutes les coupes ainsi que le goût et l'utilisation de chacune des pièces. À l'écouté, j'en ai appris beaucoup. Dominic aussi avait quelques conseilles qui me seront sûrement utiles un jour.
Mardi, on se dirige vers un autre secteur très prometteur en évitant de frappé une femelle cerf mulet sur le chemin. Au premier appel, des pas ce font entendre dans une coulée, probablement des chevreuils qui se sauva. A quelques minutes de là, des bruits capta notre attention, il y avait un orignal mâle et il frappait ces palettes contre les arbres. Dominic avait un permit pour l'orignal à l’arc. Il tenta quelques appels, mais l'orignal montrait peu de signe de réceptivité étant aussi loin de la saison du rut qui est plus tard en Alberta qu'au Québec. Nous tentons une approche, mais le mastodonte disparu devant nous. La brume était intense ce matin là, en plus de la gelée qui recouvrait le sol.
Mikael et moi nous rendions sur une butte pour observer une coulée. En route, on trouva un coté de panache de cerf-mulet. Une demi-heure plus tard, la brume commença à s’estomper et nous dévoila le trésor quelle cachait. Du haut de cette colline, la vue était incroyable. Le soleil illumina toute la vallée révélant les couleurs et la beauté du paysage. Nous pouvions voir la majorité des petites collines et Mikael, avec ses yeux d’oiseau de proie, décela un petit point gris a plus d'un km de distance. C'était une femelle cerf-mulet qui mangeait sur les collines dénudées.
Dîner et de retour en après midi, Mikael voulait aller vérifier un secteur qui avait du potentiel les années précédentes. En effet, ce secteur était remplit de souilles et de frottage de wapiti, possiblement orignaux et chevreuil aussi. Nous avons trouvé aussi un trou d'eau qui était activement fréquenté par les animaux du secteur. Au retour, Mikael avec sa vue aiguisé pour la chasse de montagne, capta un jeune mâle orignal encore cette fois a plus de 1 km de distance sur une colline.
Jeudi, dernier jours de chasse. En arrivant au secteur chasser les premiers jours, des loups étaient présents et nous les entendions à bonne distance. Dominic vérifia le vent et nous prenons place pour tenté de les faire sortir au champ. Dominic fit des appels et les loups répondit presque immédiatement. Après quelques minutes, nous constatons qu'ils s'approchent du champ pour enquêter sur les appels de solitaire que Dominic faisait. Les loups n’ont aucun problème à tuer d’autres loups sur leur territoire. Le vent tournait sans cesse et une fois rendue à l'orée du bois, un des loups fut en mesure de nous sentir et donna l’alerte. Ils repartirent silencieusement.
(Dominic qui guete les loups)
Dominic qui parle au loups
https://www.youtube.com/watch?v=7OIrvOUyUV4&feature=youtube_gdata
https://www.youtube.com/watch?v=hKpWi_c-AEM
On saute sur les VTTs et on retourne à la coulée initiale. Installé avec nos jumelles, nous gardons un œil dans la vallée pour y apercevoir des wapitis. Après quelques minutes d'observation, le soleil du matin et la fatigue m'a rattrapé et je fis une sieste. À mon réveil, j'aperçus Mikael et Dominic sur une autre colline, ils tentaient de voir si un mâle se trouvait dans le fond de la coulée. Perspicace et déterminé, ils ont été capables de faire venir un très beau males de 6x6 qui semblais être moins vocal, mais intéressé aux appels que Mikael faisait. Malheureusement, il ne présenta jamais de bon tir et Dominic n’a pas eu la chance de faire feu.
La chasse au wapiti en est une différente et très difficile comparer aux gibiers communs qui me vienne en tête. Le wapiti est un animal sensible à l’humain et surtout a la pression de chasse. Nos journées étaient divisées en bonne marche ou il faillait négocier avec le terrain, des sessions d'appel, des sessions d'observation et de la prospection. Dans une journée normale, il y avait un minimum de 2 à 6 km de marche. Il est de mise qu'une forme physique est obligatoire pour chassé le wapiti, ces un animal qui vit dans des habitat difficile d'acces et souvent a pic.
En terminant, je ne peu oublier de remercier mes amis Mikael Charbonneau et Dominic Imbeau. Il m'ont donné la chance de les accompagné pour une chasse au wapiti et ce fut une experience que je n'oublierai jamais. Ils sont super travaillant, tres acceuillant et bien équipé pour tout les types de chasse. Il m'ont aussi permit de voir l'Alberta et d'en apprécier la plus belle saison;l'automne. Le wapiti que j'ai récolté appartient autant a Dominic qu'a moi. J'ai eu la chance de le récolté mais je sais tres bien que ces grace a Dominc. Ces un voyage qui n'aurais été possible sans eu, et je leur en remercit encore.
Je mets pieds en Alberta pour la première fois le 15 septembre en compagnie de Yves, un copain de longue date de Dominic Imbeau. Ces avec anticipation que j'attendais ce voyage. Dominic nous attendaient, semble t'il, avec une certaine impatience de nous voir en personne et de mettre encore plus de concret au voyage a venir. On ramasse les bagages et puis direction camion. Nous avions près de 6 heures de routes à faire avant d'atteindre notre destination.
On arrive à Peace River et le souper est servit immédiatement; de la chèvre de montagne sur le BBQ appreté par Mikael Charbonneau. C'était excellent, tendre et sans goût de gibier. Je pense que tous ont aimé et j'en ai même repris une 2ieme fois. ( http://www.chevreuil.net/phpBB2/viewtopic.php?t=27584 )
Le premier matin de notre voyage, la saison de chasse n'était pas encore ouverte. En équipes de 2, le groupe de sépara pour aller prospecté ses petits coins de territoire. Le secteur est immense. Dominic a en tête un secteur spécifique dans lequel il y avait beaucoup de signes de wapiti l'année précédente. Cette journée la, le vent était fort, ce qui rendait difficile de localisé les mâles qui répondaient à nos appels. Après quelques appels, un premier beuglement se fait entendre. On prend la direction du beuglement pour tenter de voir si les mâles sont dans la coulée. Avant d’arriver sur le dessus de celle-ci, Dominic me fit remarquer qu’il y avait une odeur particulière de souille de wapiti. Après quelques secondes, il me fut possible de le sentir aussi. Une fois rendu sur le dessus de la coulée, Dominic trouva la première souille qu’il avait senti à plus de 500 pieds. Quelques pas plus loin et une autre souille fut découverte. Super! Les signes sont présents et les wapitis aussi, nul besoin d'aller plus loin, car nous reviendrons ici le lendemain matin.
Yves et Mikael de leur coté, ont eu toute une surprise en arrivant à leur secteur. Un beau 5x5 dont Mikael avait trouvé les panaches au printemps était en plein champ sur l'heure du midi au soleil. Ces quelques choses de rare, car les wapitis se montrent rarement en plein jour dans les milieux ouverts, beaucoup moins que les chevreuils. Ça augure bien pour eu aussi. Disons que nous étions pas mal content de notre prospection.
Le soir nous vérifions les carabines au champ de tir et en revenant, nous voyons 4 cerf-mulets mâle dans le font d'un champ. En les regardant, je crois qu'ils sont de bonne taille, mais Mikael me dit qu'il y en a des beaucoup plus gros. Des panaches hauts et des corps plus gros que le cerf de Virginie. J'ai trouvé le cerf mulet très impressionnant.
Un beau tapis de gelé recouvre le sol pour notre première journée de chasse. La température était parfaite; froide, sans vents et ensoleillé. Aussitôt débarqué du VTT, le son des loups a capté mon attention. C'était la première fois que j'entendais des loups. Il y en avait plusieurs et j'ai trouvé bien ça bien spécial d’entendre leurs hurlements. Quelques minutes plus tard, les coyotes se sont mêlés à la partie avec leurs appels. Une symphonie sauvage de prédateur.
En ce dirigeant vers la coulée où se trouvaient les souilles, Dominic répondit à l'appel de la nature et un wapiti se fit entendre au loin. Dominic ne pouvait pas confirmer. Continuant notre chemin, Dominic, à l’aide de son appeau, fit un beuglement et la réponse d’un wapiti fut immédiate. Le mâle était entre notre sentier de VTT et une coulée à droite, possiblement en direction de la coulée a notre gauche. À l'aide d’un appeau diaphragme, Dominic lui lança des appels de femelle. Il répondit et semblait se diriger pour prendre son vent. Suivant les conseils de Dominic, nous nous sommes empressés de retourner sur nos pas dans le chemin afin de couper le trajet du wapiti avant qu'il nous sente. Il approche à bonne vitesse et Dominic l'écoute puis décide qu'on doit encore reculer dans le chemin d'une centaine de pieds. On se place, et je suis concentré sur les sons dans le petit vallon qu'il est entrain de remonter. Après quelques minutes, une branche craqua et un bout de son panache apparu. Il arriva de notre gauche. Il s'approche et je suis impressionné de constater de la beauté et la finesse d'un wapiti sauvage venant sur le call. Il fait quelques pieds, Dominic me confirme qu'il est légal, car il a au moins 3 pointes sur un coté. Je le vois dans mon télescope, mais j'ai des buissons qui me cache les vitales. Sans me presser, Dominic me dit de le prendre car il est vraiment sur le radar et que nous allons le perdre. J'enlève le cran de sûreté, il est nerveux, je place ma croix en me dégageant du buisson et j'appuie sur la gâchette. Il fait un demi-tour et tente de retourné dans le canyon. Je recharge et je le suis avec ma croix pour tirer un 2ième coup qui lui sera fatal. Il cesse sa course, Dominic tir un coup et le wapiti tombe en même temps. À peine 75 pieds de course, notre marge était mince. Je n'en revient pas, que dire de plus. En plus d'être hyper-content, je n'arrive pas à croire que j'ai récolté mon premier wapiti au premier matin de chasse après à peine 1 heure sur le terrain; sans compter que ça en est un beau. Dominic est content et surtout stupéfait de ma réaction. Ayant vue le wapiti tomber, on lui donne quelques minutes et on part en vitesse constater l'ampleur de la situation.
En s'approchant, je l'aperçois à une 50aine de pieds de nous. En marchant vers lui, j'ai plein d'idées et d'émotion qui me passe par la tête. Étant chasseur de chevreuil, je le trouve immense. Il dégage une odeur que j'ai apprit à connaître et à bien aimer. Je saute en arrière du wapiti, je lève son panache et je constate qu'il a 5 pointes de chaque coté, ce qui en fait un 5x5. Je suis vraiment content, que dire de plus.
Yves et Mikael qui chassaient plus loin nous avaient entendu tirer. Dominic leur a envoyé un texte par cellulaire afin de le rejoindre au truck, car maintenant le travail débute. On charge le wapiti et vite il doit être mit au froid afin d’éviter de perdre la viande. En mettant le wapiti dans la boite du camion, un buck chevreuil de 8 ou 10 pointes sauta une clôture derrière nous pour traversé le champ et se rendre au boisé en face, avec le soleil du midi la scène était de toute beauté. En route pour la maison nous apercevons un coyote dans un champ, et quelques cerf-mulets. Première journée haute en émotion.
Le lendemain.....
Dimanche on se lève tard, la soirée d'avant n'a pas été de tout repos. Lundi nous nous dirigeons vers le secteur prospecté et des chasseurs y sont avant nous, alors Dominic et moi nous allons où il avait récolté sont wapiti 2 ans auparavant. Le paysage est magnifique, une immense coulée pleine de couleur et de sentier de cervidés. Aucunes réponses se fut entendre cette journée la, car la pleine lune était au rendez-vous et sembla ralentir l'activité sur les sites de chasse.
Plus tard en journée Dominic, Yves et moi débitons mon wapiti. Yves est un ancien boucher de métier et il connaît toutes les coupes ainsi que le goût et l'utilisation de chacune des pièces. À l'écouté, j'en ai appris beaucoup. Dominic aussi avait quelques conseilles qui me seront sûrement utiles un jour.
Mardi, on se dirige vers un autre secteur très prometteur en évitant de frappé une femelle cerf mulet sur le chemin. Au premier appel, des pas ce font entendre dans une coulée, probablement des chevreuils qui se sauva. A quelques minutes de là, des bruits capta notre attention, il y avait un orignal mâle et il frappait ces palettes contre les arbres. Dominic avait un permit pour l'orignal à l’arc. Il tenta quelques appels, mais l'orignal montrait peu de signe de réceptivité étant aussi loin de la saison du rut qui est plus tard en Alberta qu'au Québec. Nous tentons une approche, mais le mastodonte disparu devant nous. La brume était intense ce matin là, en plus de la gelée qui recouvrait le sol.
Mikael et moi nous rendions sur une butte pour observer une coulée. En route, on trouva un coté de panache de cerf-mulet. Une demi-heure plus tard, la brume commença à s’estomper et nous dévoila le trésor quelle cachait. Du haut de cette colline, la vue était incroyable. Le soleil illumina toute la vallée révélant les couleurs et la beauté du paysage. Nous pouvions voir la majorité des petites collines et Mikael, avec ses yeux d’oiseau de proie, décela un petit point gris a plus d'un km de distance. C'était une femelle cerf-mulet qui mangeait sur les collines dénudées.
Dîner et de retour en après midi, Mikael voulait aller vérifier un secteur qui avait du potentiel les années précédentes. En effet, ce secteur était remplit de souilles et de frottage de wapiti, possiblement orignaux et chevreuil aussi. Nous avons trouvé aussi un trou d'eau qui était activement fréquenté par les animaux du secteur. Au retour, Mikael avec sa vue aiguisé pour la chasse de montagne, capta un jeune mâle orignal encore cette fois a plus de 1 km de distance sur une colline.
Jeudi, dernier jours de chasse. En arrivant au secteur chasser les premiers jours, des loups étaient présents et nous les entendions à bonne distance. Dominic vérifia le vent et nous prenons place pour tenté de les faire sortir au champ. Dominic fit des appels et les loups répondit presque immédiatement. Après quelques minutes, nous constatons qu'ils s'approchent du champ pour enquêter sur les appels de solitaire que Dominic faisait. Les loups n’ont aucun problème à tuer d’autres loups sur leur territoire. Le vent tournait sans cesse et une fois rendue à l'orée du bois, un des loups fut en mesure de nous sentir et donna l’alerte. Ils repartirent silencieusement.
(Dominic qui guete les loups)
Dominic qui parle au loups
https://www.youtube.com/watch?v=7OIrvOUyUV4&feature=youtube_gdata
https://www.youtube.com/watch?v=hKpWi_c-AEM
On saute sur les VTTs et on retourne à la coulée initiale. Installé avec nos jumelles, nous gardons un œil dans la vallée pour y apercevoir des wapitis. Après quelques minutes d'observation, le soleil du matin et la fatigue m'a rattrapé et je fis une sieste. À mon réveil, j'aperçus Mikael et Dominic sur une autre colline, ils tentaient de voir si un mâle se trouvait dans le fond de la coulée. Perspicace et déterminé, ils ont été capables de faire venir un très beau males de 6x6 qui semblais être moins vocal, mais intéressé aux appels que Mikael faisait. Malheureusement, il ne présenta jamais de bon tir et Dominic n’a pas eu la chance de faire feu.
La chasse au wapiti en est une différente et très difficile comparer aux gibiers communs qui me vienne en tête. Le wapiti est un animal sensible à l’humain et surtout a la pression de chasse. Nos journées étaient divisées en bonne marche ou il faillait négocier avec le terrain, des sessions d'appel, des sessions d'observation et de la prospection. Dans une journée normale, il y avait un minimum de 2 à 6 km de marche. Il est de mise qu'une forme physique est obligatoire pour chassé le wapiti, ces un animal qui vit dans des habitat difficile d'acces et souvent a pic.
En terminant, je ne peu oublier de remercier mes amis Mikael Charbonneau et Dominic Imbeau. Il m'ont donné la chance de les accompagné pour une chasse au wapiti et ce fut une experience que je n'oublierai jamais. Ils sont super travaillant, tres acceuillant et bien équipé pour tout les types de chasse. Il m'ont aussi permit de voir l'Alberta et d'en apprécier la plus belle saison;l'automne. Le wapiti que j'ai récolté appartient autant a Dominic qu'a moi. J'ai eu la chance de le récolté mais je sais tres bien que ces grace a Dominc. Ces un voyage qui n'aurais été possible sans eu, et je leur en remercit encore.
