est beaucoup plus basée sur la popularité des modèles que sur les genres d'insectes que ces modèles
représentent ou imitent .une fois rendu sur le bord de leur plan d'eau , ces mêmes moucheurs
nouent à l'avançon une artificielle quelconque, tout en souhaitant que la truite la saisisse dès son arrivée sur l'eau.
si la mouche artificielle ne procure pas le succès souhaité, elle sera remplacé par une autre et ainsi de suite.
cette manière de procéder finira tôt ou tard par donner des résultats, le défaut majeur de cette méthode
est que le choix de ces mouches ne sont pas motivés.
une autre approche commande tout d'abord au pêcheur de déterminer les catégories d'insectes
qui peuplent le plan d'eau qu'il fréquente. par la suite, cette recherche permet de sélectionner une ou
des artificielles qui correspondent le plus à la forme de vie dont le poisson tire sa subsistance.
cette approche est d'autant plus enrichissante si le pêcheur est un adepte du montage de mouches
car elle lui permet de créer et mettre à l'épreuve des imitations plus suggestives et personnalisé.
ce discours n'est qu'une mise en bouche, ( si je puis m'exprimer ainsi) parce que par la suite
avec le retour de l'hiver vient la saison du montage de mouches.