La pêche à la mouche sèche
Pour bon nombre de pêcheurs, la pêche à la mouche sèche est la seule digne d'être pratiquée. La raison en est trés simple.
Toute l'action de pêche, du posé jusqu'à la prise est visible. Le pêcheur constate immédiatement si son lancé est correct ou non,
si la mouche est bien présentée ou non. La vraie difficulté consiste à savoir quelle mouche sera mordante.
Le pêcheur par la connaissance indispensable des divers stades de développement d'une mouche saura ce qu'il convient de monter
et de présenter au poisson recherché.
Ce mode de pêche est pratiqué depuis 150 ans et a trouvé son véritable succès dans le sud de l'Angleterre et un peu plus tard
en Amérique de Nord. Depuis la pêche à la mouche sèche à évoluée, grace notamment aux passionnés qui ont sans cesse amélioré
leurs imitations.Du moucheron à la grosse mouche, tout est observé par les pêcheurs pour en mémoriser les aspects afin
de les reproduire avec un maximum de réalisme. C'est vrai aussi bien pour les insectes aquatiques que pour les insectes terrestres.
Dans une eau courante, la mouche sèche sera déposée en amont pour se présenter naturellement sur le poste, tandis qu'en eau dormante,
c'est le pêcheur qui approchera le poste avec d'infinies précautions. Généralement une soie de 4 à 6 fera l'affaire.
La pêche à la mouche noyée
Dans l'histoire de la pêche à la mouche, celle dite à la mouche noyée est sans doute la plus ancienne.
Les collections de mouches anciennes présentent des créations qui n'ont rien perdues de leur valeur attractive.
Cette technique reste pour certains pêcheurs la plus efficace compte tenu du fait que les salmonidés trouvent
la quasi totalité de leur nourriture sous l'eau.Depuis les origines, les pêcheurs confectionnent des mouches
qui imitent parfaitement tel ou tel insecte à chaque étape de son développement. La panoplie est large
et en fonction de l'avancement dans la saison, la mouche artificielle choisie sera celle ressemblant le plus à l'insecte vivant
sur le cours d'eau. Là où l'eau est peu profonde, la soie flottante de 5 ou 6 sera utilisée, alors que dans une eau plus profonde
la soie plongeante sera privilégiée. Lancée en travers du courant et vers l'amont, le pêcheur prendra soin de laissé la soie dériver
vers laval aussi longtemps que possible pour espérer un gobage. Dans une eau dormante, la mouche noyée doit être animée lentement,
non loin de la surface, avec de temps à autres quelques tirées vigoureuses.
à suivre, les nymphes et les streamers
Pour bon nombre de pêcheurs, la pêche à la mouche sèche est la seule digne d'être pratiquée. La raison en est trés simple.
Toute l'action de pêche, du posé jusqu'à la prise est visible. Le pêcheur constate immédiatement si son lancé est correct ou non,
si la mouche est bien présentée ou non. La vraie difficulté consiste à savoir quelle mouche sera mordante.
Le pêcheur par la connaissance indispensable des divers stades de développement d'une mouche saura ce qu'il convient de monter
et de présenter au poisson recherché.
Ce mode de pêche est pratiqué depuis 150 ans et a trouvé son véritable succès dans le sud de l'Angleterre et un peu plus tard
en Amérique de Nord. Depuis la pêche à la mouche sèche à évoluée, grace notamment aux passionnés qui ont sans cesse amélioré
leurs imitations.Du moucheron à la grosse mouche, tout est observé par les pêcheurs pour en mémoriser les aspects afin
de les reproduire avec un maximum de réalisme. C'est vrai aussi bien pour les insectes aquatiques que pour les insectes terrestres.
Dans une eau courante, la mouche sèche sera déposée en amont pour se présenter naturellement sur le poste, tandis qu'en eau dormante,
c'est le pêcheur qui approchera le poste avec d'infinies précautions. Généralement une soie de 4 à 6 fera l'affaire.
La pêche à la mouche noyée
Dans l'histoire de la pêche à la mouche, celle dite à la mouche noyée est sans doute la plus ancienne.
Les collections de mouches anciennes présentent des créations qui n'ont rien perdues de leur valeur attractive.
Cette technique reste pour certains pêcheurs la plus efficace compte tenu du fait que les salmonidés trouvent
la quasi totalité de leur nourriture sous l'eau.Depuis les origines, les pêcheurs confectionnent des mouches
qui imitent parfaitement tel ou tel insecte à chaque étape de son développement. La panoplie est large
et en fonction de l'avancement dans la saison, la mouche artificielle choisie sera celle ressemblant le plus à l'insecte vivant
sur le cours d'eau. Là où l'eau est peu profonde, la soie flottante de 5 ou 6 sera utilisée, alors que dans une eau plus profonde
la soie plongeante sera privilégiée. Lancée en travers du courant et vers l'amont, le pêcheur prendra soin de laissé la soie dériver
vers laval aussi longtemps que possible pour espérer un gobage. Dans une eau dormante, la mouche noyée doit être animée lentement,
non loin de la surface, avec de temps à autres quelques tirées vigoureuses.
à suivre, les nymphes et les streamers