Des armes et de la chasse...
Jean Pagé Catégorie : : éditorial chasse
Il y a dans la nature de l’Homme des besoins physiologiques dont il ne peut se dissocier: la nécessité de consommer des protéines trouvées dans la viande, tout comme celle d’ingérer des végétaux.
Il y a des millénaires, si la créature dite Homo sapiens, que nous sommes, pouvait cueillir des plantes et couper des arbres pour répondre à ses besoins, elle réalisait aussi que des animaux étaient placés dans son entourage et qu’ils devaient lui servir à bon escient. Des bêtes étaient donc mises à mort, afin de fournir les éléments nutritifs dont elle avait besoin.
Aucune loi, pas plus celle de Moïse que d’autres, stipulèrent que nous devrions nous en tenir aux animaux domestiques puisque, à l’origine, les bêtes existaient, mais uniquement à l’état sauvage. Ce furent les Hommes qui leur enlevèrent la liberté afin de les asservir, les abrutir, les engraisser et par la suite les saigner, de là, manger leur chair et se vêtir de leurs peaux.
Devrions-nous croire que cette habitude de mise à mort acquise depuis des millénaires est un geste louable? Voilà l’esquisse de tous les humains, qui vécurent et vivent sur cette terre.
Le chasseur est noble
Peut-on se permettre de critiquer le chasseur, qui tout comme ses ancêtres des millénaires passés, respecte ses origines en effectuant un retour aux sources? Bien au contraire, puisque la fronde et la flèche accordaient une chance au gibier et qu’aujourd’hui, le recours au fusil et à l’arc continue cette tradition. Le geste du chasseur est beaucoup plus noble, que celui de l’égorgeur, dont le couteau ne laisse aucune chance à l’animal de s’en tirer.
Chasser, c’est tout simplement observer les lois de la nature, tout en s’adonnant à la pratique d’un sport sain. La chasse obtenait ses titres de noblesse, bien avant que vous et moi voyions le jour.
Amélioration du cheptel sauvage
Grâce aux chasseurs, à leurs contributions monétaires aux divers organismes de conservation et fondations vouées à la faune. Ajoutons les législations restrictives protégeant certaines espèces, les aménagements de territoires, nos parcs et réserves, la diffusion de messages de conservation. Nous réalisons que plusieurs de nos gibiers sauvages sont plus nombreux qu’ils ne l’ont jamais été, mentionnons les grandes oies blanches, le cerf de Virginie, l’orignal, la sauvagine et j’en oublie.
La pratique de la chasse est associée aux origines de l’Homme, il en sera ainsi pour ceux qui nous succéderont, si le législateur ne commet pas l’erreur d’imposer des restrictions sur les armes à feu, qui rendront sa pratique trop onéreuse, trop compliquée, détruisant ainsi les espoirs que nous avons de maintenir une relève.
Que désirez-vous que je fasse de plus? ... C’est à vous chasseurs de manifester!
Jean Pagé Catégorie : : éditorial chasse
Il y a dans la nature de l’Homme des besoins physiologiques dont il ne peut se dissocier: la nécessité de consommer des protéines trouvées dans la viande, tout comme celle d’ingérer des végétaux.
Il y a des millénaires, si la créature dite Homo sapiens, que nous sommes, pouvait cueillir des plantes et couper des arbres pour répondre à ses besoins, elle réalisait aussi que des animaux étaient placés dans son entourage et qu’ils devaient lui servir à bon escient. Des bêtes étaient donc mises à mort, afin de fournir les éléments nutritifs dont elle avait besoin.
Aucune loi, pas plus celle de Moïse que d’autres, stipulèrent que nous devrions nous en tenir aux animaux domestiques puisque, à l’origine, les bêtes existaient, mais uniquement à l’état sauvage. Ce furent les Hommes qui leur enlevèrent la liberté afin de les asservir, les abrutir, les engraisser et par la suite les saigner, de là, manger leur chair et se vêtir de leurs peaux.
Devrions-nous croire que cette habitude de mise à mort acquise depuis des millénaires est un geste louable? Voilà l’esquisse de tous les humains, qui vécurent et vivent sur cette terre.
Le chasseur est noble
Peut-on se permettre de critiquer le chasseur, qui tout comme ses ancêtres des millénaires passés, respecte ses origines en effectuant un retour aux sources? Bien au contraire, puisque la fronde et la flèche accordaient une chance au gibier et qu’aujourd’hui, le recours au fusil et à l’arc continue cette tradition. Le geste du chasseur est beaucoup plus noble, que celui de l’égorgeur, dont le couteau ne laisse aucune chance à l’animal de s’en tirer.
Chasser, c’est tout simplement observer les lois de la nature, tout en s’adonnant à la pratique d’un sport sain. La chasse obtenait ses titres de noblesse, bien avant que vous et moi voyions le jour.
Amélioration du cheptel sauvage
Grâce aux chasseurs, à leurs contributions monétaires aux divers organismes de conservation et fondations vouées à la faune. Ajoutons les législations restrictives protégeant certaines espèces, les aménagements de territoires, nos parcs et réserves, la diffusion de messages de conservation. Nous réalisons que plusieurs de nos gibiers sauvages sont plus nombreux qu’ils ne l’ont jamais été, mentionnons les grandes oies blanches, le cerf de Virginie, l’orignal, la sauvagine et j’en oublie.
La pratique de la chasse est associée aux origines de l’Homme, il en sera ainsi pour ceux qui nous succéderont, si le législateur ne commet pas l’erreur d’imposer des restrictions sur les armes à feu, qui rendront sa pratique trop onéreuse, trop compliquée, détruisant ainsi les espoirs que nous avons de maintenir une relève.
Que désirez-vous que je fasse de plus? ... C’est à vous chasseurs de manifester!