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Modèles de brimbale
Il existe des centaines de modèles de brimbale avec des montages aussi différents les uns comme les autres. Tous ces modèles sont bons mais leur fonctionnement l’est-il? En effet, ce n’est pas le modèle qui représente une faiblesse mais bien son fonctionnement. Comme vous pourrez le constater, il suffira de modifier légèrement la brimbale pour qu’elle augmente vos chances de capture lorsque le poisson sera méfiant
La brimbale
Donc, pour la fabrication d’une brimbale, il est important de tenir compte du comportement des l’espèces que l’on veut pêcher. Un seul modèle de brimbale peut être utilisé pour toutes les espèces de poissons, à l’exception du maskinongé. En effet, si l’on veut capturer cette dernière espèce, l’on doit soit avoir un autre modèle de brimbale à cause de la résistance du fil et de la grosseur de l’hameçon qui doit être changer ou soit avoir une brimbale versatile ou il suffit juste de changer une partie de celle-ci.
Course d’une brimbale
La course d’une brimbale est la longueur totale de la descente de celle-ci. Si une brimbale est courte, sa descente le sera tout autant alors qu’une brimbale longue aura une course beaucoup plus longue. Comme mentionner dans le comportement des poissons, lorsque le doré tète, quand il arrivera au bout de la course de la brimbale, il lâchera prise immédiatement ou arrachera tout simplement le méné. Le même phénomène se produira avec la perchaude. Pour ce qui est des brochet, bien souvent ils s’accrocheront seul à l’hameçon la fin de la course de la brimbale.
Je pense que tous l’on remarqué lors de leur sortie de pêche que chaque espèce de poisson possède sa façon de descendre la brimbale. Une perchaude et les petits dorés le feront par petits coups saccadés. Plus la brimbale est difficile à descendre, plus les coups serons court. J’ai souvent remarquer des brimbales qui descendait de seulement un pouce lorsqu’une perchaude mordait et on se demandait comment le pêcheur pouvait surveiller ses brimbales.
Les petits brochets eux sont exceptionnel parce qu’ils sont les plus agressif, comme s’ils avaient peur que d’autres prédateurs leur volent leur proie. Ils descendent la brimbale à pleine vitesse ce qui a pour effet bien souvent qu’ils se piquent seul à l’hameçon. Les brochets moyens quant à eux, descendrons la brimbale lentement dans la plupart des cas mais en continue presque sans arrêt. Quant aux maskinongés, la brimbale descendra de 2 ou 3 pouces puis s’arrêtera pour quelques secondes puis continuera à descendre lentement dans la majorité des cas, par la suite le maskinongé arrêtera au bout de quatre ou cinq pieds pour quelque secondes puis refera une course d’une vingtaine de pieds pour avaler sa proie, ce sera le moment de le ferrer.
Pour ce qui est des gros dorés, ils descendent la brimbale lentement dans la plupart des cas, font souvent une pose de quelques secondes après une descente de 6 à 8 pouces, puis continue à descendre la brimbale jusqu’au bout. Si la brimbale a une course courte, très souvent ils arrache le méné ou lâche tout simplement prise.
Donc, cette course est d’autant plus importante que c’est cette fonction qui nous permet de voir si une brimbale mord et qui limite le temps d’intervention rapide. Une brimbale courte demande beaucoup plus de surveillance car l’on a peu de temps pour la voir. Bien souvent l’on aperçoit trop tard la brimbale lorsqu’elle descend, ou régulièrement quand elle remonte, et lorsque que l’on arrive, le poisson a soit lâché prise ou a tout simplement volé le méné. Ou encore lorsque l’on vérifie les ménés des brimbales l’on s’aperçoit qu’il en manque régulièrement parce que l’on n’a pas aperçu la brimbale lorsqu’elle a descendue. Pour toutes ces raisons, j’utilise une brimbale plus longue que courte.
Il existe des centaines de modèles de brimbale avec des montages aussi différents les uns comme les autres. Tous ces modèles sont bons mais leur fonctionnement l’est-il? En effet, ce n’est pas le modèle qui représente une faiblesse mais bien son fonctionnement. Comme vous pourrez le constater, il suffira de modifier légèrement la brimbale pour qu’elle augmente vos chances de capture lorsque le poisson sera méfiant
La brimbale
Donc, pour la fabrication d’une brimbale, il est important de tenir compte du comportement des l’espèces que l’on veut pêcher. Un seul modèle de brimbale peut être utilisé pour toutes les espèces de poissons, à l’exception du maskinongé. En effet, si l’on veut capturer cette dernière espèce, l’on doit soit avoir un autre modèle de brimbale à cause de la résistance du fil et de la grosseur de l’hameçon qui doit être changer ou soit avoir une brimbale versatile ou il suffit juste de changer une partie de celle-ci.
Course d’une brimbale
La course d’une brimbale est la longueur totale de la descente de celle-ci. Si une brimbale est courte, sa descente le sera tout autant alors qu’une brimbale longue aura une course beaucoup plus longue. Comme mentionner dans le comportement des poissons, lorsque le doré tète, quand il arrivera au bout de la course de la brimbale, il lâchera prise immédiatement ou arrachera tout simplement le méné. Le même phénomène se produira avec la perchaude. Pour ce qui est des brochet, bien souvent ils s’accrocheront seul à l’hameçon la fin de la course de la brimbale.
Je pense que tous l’on remarqué lors de leur sortie de pêche que chaque espèce de poisson possède sa façon de descendre la brimbale. Une perchaude et les petits dorés le feront par petits coups saccadés. Plus la brimbale est difficile à descendre, plus les coups serons court. J’ai souvent remarquer des brimbales qui descendait de seulement un pouce lorsqu’une perchaude mordait et on se demandait comment le pêcheur pouvait surveiller ses brimbales.
Les petits brochets eux sont exceptionnel parce qu’ils sont les plus agressif, comme s’ils avaient peur que d’autres prédateurs leur volent leur proie. Ils descendent la brimbale à pleine vitesse ce qui a pour effet bien souvent qu’ils se piquent seul à l’hameçon. Les brochets moyens quant à eux, descendrons la brimbale lentement dans la plupart des cas mais en continue presque sans arrêt. Quant aux maskinongés, la brimbale descendra de 2 ou 3 pouces puis s’arrêtera pour quelques secondes puis continuera à descendre lentement dans la majorité des cas, par la suite le maskinongé arrêtera au bout de quatre ou cinq pieds pour quelque secondes puis refera une course d’une vingtaine de pieds pour avaler sa proie, ce sera le moment de le ferrer.
Pour ce qui est des gros dorés, ils descendent la brimbale lentement dans la plupart des cas, font souvent une pose de quelques secondes après une descente de 6 à 8 pouces, puis continue à descendre la brimbale jusqu’au bout. Si la brimbale a une course courte, très souvent ils arrache le méné ou lâche tout simplement prise.
Donc, cette course est d’autant plus importante que c’est cette fonction qui nous permet de voir si une brimbale mord et qui limite le temps d’intervention rapide. Une brimbale courte demande beaucoup plus de surveillance car l’on a peu de temps pour la voir. Bien souvent l’on aperçoit trop tard la brimbale lorsqu’elle descend, ou régulièrement quand elle remonte, et lorsque que l’on arrive, le poisson a soit lâché prise ou a tout simplement volé le méné. Ou encore lorsque l’on vérifie les ménés des brimbales l’on s’aperçoit qu’il en manque régulièrement parce que l’on n’a pas aperçu la brimbale lorsqu’elle a descendue. Pour toutes ces raisons, j’utilise une brimbale plus longue que courte.
